Mémoires pour servir a l'histoire écclésiastique des six premiers siècles-- . à dire quifervoit dans la milice bc entre les officiers duProconful dAfrique ; ce qui ncftoit pas un emploi bien confi-dcrable.[Nousne favons rien autre chofe de i\ famille,jfinonquun de {ç.% parens traduifit ce quon appelle le tableau deCebcSjCn vers tous tirez de Virgile,&: fit quelques autres [zoy,]vers lequel il fe fit Montanirte, eftant à peuprès le milieu de fa vie , quon tient avoir cftc fort longue,[onpeut mettre fa naiflance en laji i6o, ou peu après. On luy don-ne les noms de Quintus Scptimius
Mémoires pour servir a l'histoire écclésiastique des six premiers siècles-- . à dire quifervoit dans la milice bc entre les officiers duProconful dAfrique ; ce qui ncftoit pas un emploi bien confi-dcrable.[Nousne favons rien autre chofe de i\ famille,jfinonquun de {ç.% parens traduifit ce quon appelle le tableau deCebcSjCn vers tous tirez de Virgile,&: fit quelques autres [zoy,]vers lequel il fe fit Montanirte, eftant à peuprès le milieu de fa vie , quon tient avoir cftc fort longue,[onpeut mettre fa naiflance en laji i6o, ou peu après. On luy don-ne les noms de Quintus Scptimius Florcns Tertullianus.]Ilsappelle luy mefmecn un endroit Scptimius TcrtuUianus. ^Ceftoit un génie vif,vehcment,ardent,«S<:rubtil.[Ccft pour-quoi il ne faut pas sctonner]^sil avoue quil cftoit impatientde fon naturel.^Mais on trouvcquil navoit pas autant de juge- &, de foliditc,&: de juftcirc defprit.^Quoiquil parle de fcsétudes dune manière fort rabailîcc,[on ne peut néanmoins I. 1. TERTULLIEN. 197 douter quil nait étudié toutes fortes de fcicnces : &c ceft ceque Ces livres témoignent allez.] Son apologie &: Ces autres ou- s+. contre les payens, contiennent au jugement de ^^me tout ce que les lettres humaines ont de plus beau &c de plusNdilifimus Câ rappellele plus illultre de tous ceux qui ,. écrit.^Il Vincent de Lerins, entre les Latins ce quOri- P . , n SI 1 1 3ï gène eu: entre les Grecs ; cell: a dire le premier & le chel: de i+.]. « tous les autres. En eiîet,ajoute t-il, y a t-il rien de plus doûe^ M Y a t-il rien de plus confommédans les lettress divines &:hu- „ maincs ? Et na t-il pas comme renfermé dans la vafte étendue « de fon efprit & de fa mémoire toute la philofophie des fages 53 payens du monde, les maximes de toutes les différentes fectes, j> leurs auteurs & leurs défenfeurs, avec to
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