. Dictionnaire de pomologie : contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus généralement connus et cultivés. Fruit. 218 GÃN [général lam^ écartés du bois, aux écailles mal souciées. â Feuilles : grandes, généralement ovales ou ovales-allongées, légèrement caualiculées, profondément dentées, portées sur un pétiole long, épais et stipulé. Poire Général de Lamoriciè Fertilité. â Grande. Culture. â Nous le greffons sur franc ou sur cognassier ; sa vigueur et son développement n'ont rien d'ex- ceptionnel ; il fait de
. Dictionnaire de pomologie : contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus généralement connus et cultivés. Fruit. 218 GÃN [général lam^ écartés du bois, aux écailles mal souciées. â Feuilles : grandes, généralement ovales ou ovales-allongées, légèrement caualiculées, profondément dentées, portées sur un pétiole long, épais et stipulé. Poire Général de Lamoriciè Fertilité. â Grande. Culture. â Nous le greffons sur franc ou sur cognassier ; sa vigueur et son développement n'ont rien d'ex- ceptionnel ; il fait de jolies pyramides. Description du fruit. â Gros- seur : moyenne. â Forme : ovoïde plus ou moins allongée et ventrue, ordinai- rement mamelonnée au sommet. â Pédoncule : court, gros, renflé aux extré- mités, rarement arqué, obliquement inséré dans une large cavité dont les bords sont des plus inégaux. â OEil : grand, arrondi, ouvert, régulier, peu enfoncé. â Peau : jaune clair fortement grisâtre, ponctuée de roux et portant quelques taches vert-brun. â Chair : blanc verdâtre, fine, fondante, juteuse, pierreuse auprès des loges. â Eau : très-abondante, sucrée, vineuse, bien parfumée. Maturité. â Courant d'octobre et atteignant souvent jusqu'à la fin de novembre. Qualité. â Première. Historique. â J'ai reçu de Paris, je le crois du moins, ce poirier vers 1849, et dès 1852 je l'expédiais en Amérique, où cette même année le pomologue Hovey le signala dans le tome XVIII de son Magazine of horticulture (p. 296). Par qui fut-il propagé sous le nom qu'on lui voit actuellement?... Personne ne l'a dit encore; mais pour moi j'ai reconnu ces dernières années qu'il n'était autre que la variété belge appelée Beurré Citron par M. Bouvier, en 1843, variété dont M. Bivort éta- blissait ainsi l'origine, au
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