Traité des maladies des yeux, & des moyens & opérations propres à leur guérison . meur-Libraire i rue Notre Dame, à la Croix dOr& aux trois Vertus. M. DCC. LXX. Avec Approbation & Privilège du Roi* vj ÊPITRE,ladies des Yeux 6C leur guéri-fort y fait un accueil favorableau Traité que je lui préfentefur cette matière, ceji à f en aurai toute tobliga-tion. Vous daignâtes approuvertEjfai dont je vous fis part enmil fept cent foixante-deux >SC vous acceptâtes Vhommageque je me propojois de vousen faire. À qui pouvoisje eneffet Voffrir à plus jufle titrequyau Chef dune Académieau/Ji utile
Traité des maladies des yeux, & des moyens & opérations propres à leur guérison . meur-Libraire i rue Notre Dame, à la Croix dOr& aux trois Vertus. M. DCC. LXX. Avec Approbation & Privilège du Roi* vj ÊPITRE,ladies des Yeux 6C leur guéri-fort y fait un accueil favorableau Traité que je lui préfentefur cette matière, ceji à f en aurai toute tobliga-tion. Vous daignâtes approuvertEjfai dont je vous fis part enmil fept cent foixante-deux >SC vous acceptâtes Vhommageque je me propojois de vousen faire. À qui pouvoisje eneffet Voffrir à plus jufle titrequyau Chef dune Académieau/Ji utile que refpeSlable ,qui guidé par lamour de Vhu-manité a voulu que jy coope-raffe , en me nommant à laplace que jai lhonneur £ oc-cuper. Je ne perdrai jamais devue des motifs aufft inté-reffans ; heureux > Jî mon zélépeut mériter votre Jujfrage,& être auprès de vous le gage Ê P I T R E. vij de la reconnoijfance la plusrç/fectiieufe avec laquelle jefuis , Mon sieur Votre très-humble & très-obéiflant ferviteur,L. FI. Deshais Gendron-. Vllj ?. ?PRELIMINMRE. LE defir dêtre de quelqueutilité à ma Patrie medétermine à donner au Pu-blic ce Traité qui ma déjà étédemandé plufieurs fois. Je neme flatte pas afiez pour avan-cer quil a le degré de perfec-tion que jaurois fouhaité. Quif>eut ignorer en effet que danses Arts & les Sciences onfait toujours de nouvelles dé-couvertes? Mais du moins jeferai fatisfait fi ctt Eflaï peutéclairer les élèves & les gui-der fiirement dans la connoif-fance dune partie fi intéref-fante, & dans les moyens do-pérer fa guérifon. Chargé du foin de les leurindiquer, je me fuis appliquéà prendre dans les Auteurs,tant anciens que modernes,tout ce quils nous ont laiiTé Préliminaire. IX «le meilleur fur ce fujet ; & fije ne fuis pas toujours de leuravis fur les moyens quils pro-pofent pour guérir certainesmaladies, japporterai les rai-fons qui mont déterminé à Î>référer ceux qui mont parues p
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