. Le Monde moderne. es occu-peront ses deux côtés. Plus larges que leurs devanciers, lesnouveaux palais savancent davantagedans le jardin ; prolongés de 50 mètres,ils viendraient affleurer les pieds de latour Eiffel. Nous sommes de ceux qui regrettentles deux palais latéraux, dont lun fututilisé jusquen 1897 pour lExpositionlies .Artistes français; sauf leurs dômes De lautre côté : 1 lenseignement etles procédés des arts ; 2 le génie civilet les moyens de transport ; 3 les in-dustries chimiques. Ceux du milieu étendent leurs façadessvmétriques sur une ligne tlouble dechacun des autres palais.
. Le Monde moderne. es occu-peront ses deux côtés. Plus larges que leurs devanciers, lesnouveaux palais savancent davantagedans le jardin ; prolongés de 50 mètres,ils viendraient affleurer les pieds de latour Eiffel. Nous sommes de ceux qui regrettentles deux palais latéraux, dont lun fututilisé jusquen 1897 pour lExpositionlies .Artistes français; sauf leurs dômes De lautre côté : 1 lenseignement etles procédés des arts ; 2 le génie civilet les moyens de transport ; 3 les in-dustries chimiques. Ceux du milieu étendent leurs façadessvmétriques sur une ligne tlouble dechacun des autres palais. Les deux pluséloignés de la Seine se raccordent avecles portiques du Château deau. Ici, lestyle Louis XV était indiqué. Nest-cepas à cette époque que remonte lusagedes plantes marines, des coraux, descoquillages? Les architectes firent appelà la nature pour lutter contre la rigi-dité des lignes du style Louis .VIV. Cesornemenls forment un encadrement tout LEXPOSITION DE 1900 A LA FIN DE IsOO. LE PAVILLON DES ft T A T S - V N I f naturel pour lénorme (]liAto;iu deau,doù doit se déverser, dune liaulcur de30 mètres, une véritable rivière. Lesouvriers travaillent aux canalisationspour réleclricité qui doit colorer cettemasse deau. Le Palais du Génie civil et dis .Moyensde transport se distingue dès mainte-tenant par une grande originalité, unegrande hardiesse. Les arcades sévissentsur sa façade comme sur les façadesvoisines. Sous le fronton se déroule,en une longue frise, lhistoire des vé-hicules, la locomotion à travers les âges,du chariot à roues pleines au moderneleuf-teuf. Sur les pieds-droils des por-tiques se dressent en ronde bosse, plusgrands que nature, tous les travailleursde roule, du chemin de fei-, de lacarrosserie. Ils sont déjà en place, ces robustes ouvrierssi vivants, si vraisquon croit voirchangés en pierre,comme dans lescontes orientaux,le cocher dans soncarrick, le gazieravec sa blouse etsa casquette, le ba-laye
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