. Dictionnaire de physiologie. Physiology. FECONDATION. 24î> un mode aiialogui- à la cclluli'-iiii'-re ili's j^ de [lolleii. Mkvk^) a vu, dani les speinialo- c\ les de prentier ttidiede la salamaiidn' au slade (jplolonm'r, se foimer, par scission trarjs- versalt', 12 chioinosoines (au lieu de 2irf()inriie dans la mitose des cellules somatiques). Ces chromosomes réprésentaient déjà des cerceaux contournés en divers sens. Au stade de la platjue équaloriaie, les 12 chromosomes se placent paraUéiement au fuseau acliromatiiiue, et chacun s'étire en losange, ce qui imprime à la pia
. Dictionnaire de physiologie. Physiology. FECONDATION. 24î> un mode aiialogui- à la cclluli'-iiii'-re ili's j^ de [lolleii. Mkvk^) a vu, dani les speinialo- c\ les de prentier ttidiede la salamaiidn' au slade (jplolonm'r, se foimer, par scission trarjs- versalt', 12 chioinosoines (au lieu de 2irf()inriie dans la mitose des cellules somatiques). Ces chromosomes réprésentaient déjà des cerceaux contournés en divers sens. Au stade de la platjue équaloriaie, les 12 chromosomes se placent paraUéiement au fuseau acliromatiiiue, et chacun s'étire en losange, ce qui imprime à la piaijue nucléaire l'asiiect caractéristique d'un tonnelet. Ensuite, le losange se rompt au plan équatorial ; chaque moitié se rend au pôle correspondant. Pendant que la moitié, ou charpie chromosome simple, se lend au pôle, on y voit déjà des indices du dt-douhlement (jui ne sera achevé qu'à la division suivante. deuxième division suit, en effet, de près la première, sans stade de repos, c'est-à -dire sans accroissement des chromosomes; elle consiste, poui' ainsi dire, dans le simple dédoublement longitudinal des 12 chromosomes de sorte qu'ils viennent former une plaque nucléaire de 2i chromosomes. Après leur répartition à chacun des pôles du fuseau, chacjue noyau-petit-fils reçoit 12 chromosomes. .\insi chaque celUile-pelite-lille, ou spermatocyte de tieuxième ordre, ne reçoit en faitde substance <hromalique que la moitié du corps de chacun des chromosomes qu'on observe dans la cellule-tille. La dillérence nucléaire de la cellule-petite-fille porte uniquement sur la léduction quantitative. Les phénomènes de la spermatogénèse se passent d'une façon analogue chez nombre d'éties inférieurs. Uuauer, qui a étudié à fond la formation des spermatozoïdes chez iMscdrts megalocephala, trouve que chacun de ces éléments ne représente que la moitiÃ
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