Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales . ements apportés par la lésion nerveuse, ré-sultant de la pression, dans la rapidité du courantnerveux. En disposant lexpérience suivant le procédé classi-que, on obtient le tracé qui est figuré ci-contre (fig. 2).Le nerf sciatique de la grenouille a été coupé aussiprès que possible de la moelle. tr ^ i. _ DEL. Fig. 1. Normalement, la durée de parcours du Ironeon nerveux ajouté à lexci-tation latente a été de un centième et demi de seconde. Après unepression de KiO atmosphères la durée est portée à deux centi
Comptes rendus des séances de la Société de biologie et de ses filiales . ements apportés par la lésion nerveuse, ré-sultant de la pression, dans la rapidité du courantnerveux. En disposant lexpérience suivant le procédé classi-que, on obtient le tracé qui est figuré ci-contre (fig. 2).Le nerf sciatique de la grenouille a été coupé aussiprès que possible de la moelle. tr ^ i. _ DEL. Fig. 1. Normalement, la durée de parcours du Ironeon nerveux ajouté à lexci-tation latente a été de un centième et demi de seconde. Après unepression de KiO atmosphères la durée est portée à deux centièmes et àdeux centièmes un quart à 200 atmosphères, à trois centièmes à300 atmosphères. A 400 atmosphères, il ny a plus de contraction mus-culaire; on ne peut donc pas connaître la durée du passage du courantnerveux si taintest quil passe. On tiendra compte dailleuais de ce fait que la pression augmente beau- 408 SOCIETE DE BrOLOGlK coup la durée du temps perdu. Ces chiffres ont donc une valeur relativeet non pas une valeur Ces différences ont lair minime; elles sont énormes si on veut bieiïréfléchir quelles vont en réalité du simple au double pour une diffé-rence de 3,000 mètres de fond. Effets de linoculation du vibrion skptique chez le cqien,par MM. Gharrin et Roger. On sait que linoculation sous-cutanée du vibrion septique chez je-cobaye ou le lapin amène la mort de ces animaux en moins de vingt-quatre heures. La lésion restant absolument locale, et le microbe anaé-robie ne passant pas dans le sang, si ce nest quelquefois dans lesderniers moments de la vie, nous nous sommes demandé si la mort nereconnaîtrait pas pour cause une intoxication de Tanimai en expérience^ SÉANCE DU 25 JUIN 409 Cest dans lurine des animaux inoculés que nous avons recherché lepoison pathogène, mais jusquici, nous navons obtenu que des résultatsnégatifs. Nous naurions pas parlé de ces tentatives si, au cours de nosrecherch
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