. Revue de viticulture : organe de l'agriculture des régions viticoles. ec lécorce des ra-meaux, 08^038 % . Ces deux sortes dorganesétaient donc moins riches en principe cyaniqueque ceux de la première plante examiné tige du sujet a été divisée en trois parties égales, chacune de 0™45 de longueur (fig. 24, 1,11, III). Lécorce de la partie supérieure, pesant 28grammes^donna0»02l % dacidecyanhydrique ; celle de la partie moyenne, pesant 27 grammes, en fournit 0^^006 % ; avec celle de la partie infé-rieure, du poids de 32 gi-ammes, on en obtint 0K-005 %. Cette tige était par conséquent plus


. Revue de viticulture : organe de l'agriculture des régions viticoles. ec lécorce des ra-meaux, 08^038 % . Ces deux sortes dorganesétaient donc moins riches en principe cyaniqueque ceux de la première plante examiné tige du sujet a été divisée en trois parties égales, chacune de 0™45 de longueur (fig. 24, 1,11, III). Lécorce de la partie supérieure, pesant 28grammes^donna0»02l % dacidecyanhydrique ; celle de la partie moyenne, pesant 27 grammes, en fournit 0^^006 % ; avec celle de la partie infé-rieure, du poids de 32 gi-ammes, on en obtint 0K-005 %. Cette tige était par conséquent plus riche en Fig. 24composé cyanique que celle de léchantillon n 1,le taux moyen de lacide cyanhydrique, pour len-semble de son écorce, sélevant à près de 0,011 % . On remarquera en outre que, dans ce secondexemplaire, cest encore la partie supérieure de la tigt^ qui en fournit la proportion la plus élevée. Comme elle navait pasporté de gourmands, la migration descendante du composé cyanique fabriquédans le greffon ne laissait plus aucun Greffe de Coloneastermicrophylla sur C. frigida. —La tige oa sujet est lisse, dépTBur-vue de cicatrices de gourmandsau sommet. Au-dessous du bour-relet, 6, les deux greffons sontsemblable» à ceux de la figureprécédente. (1) Oq a vu précédemment que, dans les drupes mûres du Laurier-cerise, comme dans cellesî,^^?^ Amygdalées, la pulpe ne contient plus de principe cyanique. 11 en est autrement pourceUe desfruus mûrs du C. microphylla, qui nous a donné 0,016 % dacide cyanhydrique. 286 GUILLON. — LES VINS CHARENTAÏS EN 1906 ET 1907 Il eût été intéressant de rechercher ce qui se passequand une espèce de Coto-neasfer, renfermant, comme les précédentes, un glucoside cj^anhydrique, a étégreffée sur une autre espèce du même genre totalement dépourvue de ce glu-coside. Mais les espèces de Cotoneaster qui nélaborent pas de principe cyaniqueparaissent assez rares et, en tout cas, sont e


Size: 878px × 2848px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookauth, bookcentury1800, bookdecade1890, booksubjectviticulture