. Rodin a l'Hotel de Biron et a Meudon. de dont jefais partie ! » 56 RODIN Fleurs : « Elles marquent, par des bras et des mains, des profils parlantset désignants. « Aujourdhui, elles sont relevées comme des candélabres. « Elles soffrent à tenir des lumières. Une seule est tombéedroite, tête en bas, comme un serpent. » *Paysage : « Les tilleuls dhiver coupés sur la place de lÉglise. Tout près, la multiplicité de ces vies abandonnées, feuilles mortes comme les morts des batailles. » * * *Ces paysages encore : « Barbarie de ne savoir se servir de ses yeux. La route gracieusequi plus loin se déto
. Rodin a l'Hotel de Biron et a Meudon. de dont jefais partie ! » 56 RODIN Fleurs : « Elles marquent, par des bras et des mains, des profils parlantset désignants. « Aujourdhui, elles sont relevées comme des candélabres. « Elles soffrent à tenir des lumières. Une seule est tombéedroite, tête en bas, comme un serpent. » *Paysage : « Les tilleuls dhiver coupés sur la place de lÉglise. Tout près, la multiplicité de ces vies abandonnées, feuilles mortes comme les morts des batailles. » * * *Ces paysages encore : « Barbarie de ne savoir se servir de ses yeux. La route gracieusequi plus loin se détourne ; létang et son joli geste circulaire àtravers les arbres. » « Ces frottis rugueux, épineux, sont des arbres à lhorizon ;sur une bande de ciel, la misère des arbres. » * * « Roulent des nuages » * * « Arbres dune douceur de » * * « La jeunesse du ciel sur ces arbres encore endormis. » * * « Cest une fresque de lAngelico, le contour se dissout dans lebleu céleste.,. ». / • A / / //
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