Revue de l'art chrétien . ore ina-chevées du nouveau séminaire. Cette longue lan-terne vitrée qui couronne le bâtiment dhabitationsert à éclairer le vide intérieur dun corridor colos-sal montant du sol à la toiture ; avec ses galeriesen balcons sur lesquelles souvrent les cellules,ses ponts de fer établissant des communicationsà des hauteurs diverses, sous la lumière grisetombant de la lanterne, cest laspect morne duneprison cellulaire ou dun entrepôt ; il y a là unsérieux administratif, industriel qui glace etattriste. Ah ! comme nos pères savaient faire plusaimables, plus engageants les lieu
Revue de l'art chrétien . ore ina-chevées du nouveau séminaire. Cette longue lan-terne vitrée qui couronne le bâtiment dhabitationsert à éclairer le vide intérieur dun corridor colos-sal montant du sol à la toiture ; avec ses galeriesen balcons sur lesquelles souvrent les cellules,ses ponts de fer établissant des communicationsà des hauteurs diverses, sous la lumière grisetombant de la lanterne, cest laspect morne duneprison cellulaire ou dun entrepôt ; il y a là unsérieux administratif, industriel qui glace etattriste. Ah ! comme nos pères savaient faire plusaimables, plus engageants les lieux où des hom-mes sont destinés à vivre en commun dans laretraite et létude ! H. Chabeuf. sées par les maçons du XVI siècle, a remplacé celui delabbé dEscars : le toit fort laid qui recouvrait le porcheva faire place à une terrasse inclinée ; enfin la nouvelleflèche élève dans les airs sa croix dorée et son anciencoq restauré dont un obus badois avait enlevé la queuele 30 octobre 1S70. H.
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