L'illustration : journal universel . loi, la distillation de leau-partirdu llr juillet 1850, tant dans lesvilles que dans lesjampagnes. A partirdu 1 juillet 1851,on ne pourra plusim-porter de leau-de-viede vin, du rumou des liqueurs spi-ritueuses quelcon-ques, sauf certainesexceptions pour lescas où les médecinsordonneraient lem-ploi de liqueurs oudeau-de-vie pour lespréparations phar-maceutiques. » „%Deux de chemins de feront tenu, la semainedernière,leur assem-blée générale, Ver-sailles (rive droite)etOrléans. Nous don-nons seulement lesrésultats. Le produitde la recette totalese
L'illustration : journal universel . loi, la distillation de leau-partirdu llr juillet 1850, tant dans lesvilles que dans lesjampagnes. A partirdu 1 juillet 1851,on ne pourra plusim-porter de leau-de-viede vin, du rumou des liqueurs spi-ritueuses quelcon-ques, sauf certainesexceptions pour lescas où les médecinsordonneraient lem-ploi de liqueurs oudeau-de-vie pour lespréparations phar-maceutiques. » „%Deux de chemins de feront tenu, la semainedernière,leur assem-blée générale, Ver-sailles (rive droite)etOrléans. Nous don-nons seulement lesrésultats. Le produitde la recette totalesest élevé, pourVersailles , à 1 mil-lion 159,217 francsIl c; les dépensesde lexploitation ontété de c. : bénéfice net,438,000 fr. 32 c. ;soit 20,925 fr. 03 plus quà lexer-cice précédent. —Lesactionnaires touscherontGf. 50 c. paraction. — Orléans afait 6,901,786 francs20 cent, de recette,et 3, francs87 c. de dépenses ;soit 3, francsLe dividende a été fixé à 21 fr. 25 „,M. Soumet, qui a débuté dons les lettres en 1811,far le poeme de lIncrédulité, et dent la divine Epo/iéc a été lœuvre dernière, vient dêtre enlevé à lAcadémie fran-çaise, dont les rangs ont été depuis un an cruellement éclaircis. Nous donnerons, avec le portrait de M. Soumet,quelques traits de sa biographie. 86 LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. Bah Oiseaux de Paris. Paris, la fière capitale, no partageapparemment pas lopi-nion quune honnête femme ne doit jamaisfaire parler delle,car depuis quelques années ellecmploie sans relâche la plumeet le crayon de ses enfants à enregistrer, a illustrer tous sesfaits et gestes. Elle montre, à cet égard, si peu de retenue etsi peu de prudence, cette aimable ville quenousaimons tanten dépit de ses nombreux défauts, quelle na plus de secretpour personne. Au premier passant qui linterroge, elle solivre tout entière; elle raconte tout ce quelle sait do sonpassé, de son présent, de s
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