. Compte rendu. Science; Science -- Congresses. D1' CARTAZ. â 'ii wn \-i- 1)1 comme des cicatrices de variole ou u -ur la Lèvre supérieure, mais ne L'obstruent pas du tout. Il y a trois ans, le volume du nez étant, dit le malade, an Lien moindre, il consulta un médecin qui conseilla l'ablation. Le malade b'j refusa et a oflna dans une retraite presque absolue à La campagne, B⬠soumettant au régime Le plus sévère, aux dépuratifs de toute Borte. N'osant plus Bortir, plus se montrer, le malade est devenu névropathe, dort mal : il n Bte toujours dan- La journ nez couvert d'une sorte
. Compte rendu. Science; Science -- Congresses. D1' CARTAZ. â 'ii wn \-i- 1)1 comme des cicatrices de variole ou u -ur la Lèvre supérieure, mais ne L'obstruent pas du tout. Il y a trois ans, le volume du nez étant, dit le malade, an Lien moindre, il consulta un médecin qui conseilla l'ablation. Le malade b'j refusa et a oflna dans une retraite presque absolue à La campagne, B⬠soumettant au régime Le plus sévère, aux dépuratifs de toute Borte. N'osant plus Bortir, plus se montrer, le malade est devenu névropathe, dort mal : il n Bte toujours dan- La journ nez couvert d'une sorte démasque ajusté à une paire de lunettes noires. Cédant aux sollicitations d'un parent que j'avais soigné autrefois, le malade vient me consulter en mars 1S9<S ; je lin conseillai une opération radicale, une décortication. Il me répondit qu'il ne subirait aucune opération -'il fallait qu'il soit vu par des aides, des infirmiers ou gardes-malades ; qu'il voulait que je fusse seul à le traiter et que lui-môme ferait tous les pansements -aires. Il exigea de plus que je ne prisse jamais ni par surprise ni autrement sa pho- tographie. Je lui demandai de photographier le nez, Le reste de la tête d< Tant être recouvert d'un voile noir; il s'y refusa péremptoirement. Comme il n'avait pas proscrit un dessin, je le fis à son insu et toute ressemblance, à défaut de l'inexpérience du dessinateur, a été volontairement exclue. Devant ces mises en demeure un peu bizarres, j'étais lente de renoncer à toute tentative; mais le malade paraissait si désespéré que lui proposais de faire un traitement en quelque sorte palliatif et en séances !' pensais que des cautérisations profondes, dans l'épaisseur des tissus, bien limitées comme étendue et faites à assez longs intervalles, pourraient ame- ner une rétraction modulaire et diminuer sinon faire disparaître le bourgeonnement
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