. Revue de l'art chrétien . en terre ne Les découvertes que nous venons de mentionner, sont ordinaires dans cessortes de sépultures. Nous avons hâte darriver aux raretés produites par cettefouille. Parmi les plus singulières, nous signalerons la présence de trois éperons enfer, rencontrés aux pieds de trois fosses différentes. Ces éperons nétaient pascomplets comme ceux qui ont déjà été recueillis à Bel-Air, près de Lausanne, parM. Troyon, et à Farébersviller, par M. Dufresne, de Metz; toutefois ils avaientcette ressemblance avec ces derniers, que comme eux ils étaient armés dunepointe aiguë,
. Revue de l'art chrétien . en terre ne Les découvertes que nous venons de mentionner, sont ordinaires dans cessortes de sépultures. Nous avons hâte darriver aux raretés produites par cettefouille. Parmi les plus singulières, nous signalerons la présence de trois éperons enfer, rencontrés aux pieds de trois fosses différentes. Ces éperons nétaient pascomplets comme ceux qui ont déjà été recueillis à Bel-Air, près de Lausanne, parM. Troyon, et à Farébersviller, par M. Dufresne, de Metz; toutefois ils avaientcette ressemblance avec ces derniers, que comme eux ils étaient armés dunepointe aiguë, au lieu dune molette roulante. M. Cochet est tenté de croire que ces éperons, au lieu dêtre greffés sur unebranche de fer, étaient simplement adhérents à une semelle de bois ou de cuir quele temps aura détruite. Pour que cette hypothèse de chaussures de bois ne paraissepas invraisemblable, nous rappellerons à nos lecteurs que des sabots entiers,décorés de sculptures, ont été extraits du L
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