Revue de l'art chrétien . ier, la plus grande église,siège de la Primatie des Gaules, dont M. G. Gui-gues nous fait une rapide description. Il noubliepas en terminant de nous parler de la merveilledhorlogerie quest cette horloge de Saint-Jean,tout dernièrement réparée. A la fin nous trou\onsencore quelques lignes sur larchevcchc et sur la 4i6 jRcbuc lie r^rt cbréticn. manicanterie, lancienne école des chantres,monu-ment du X siècle qui malheureusement seffriteen réclamant une barrière défensive. M. Guiffrey, avant dêtre nommé administra-teur des Gobelins, a pendant une partie de sa vievécu dan
Revue de l'art chrétien . ier, la plus grande église,siège de la Primatie des Gaules, dont M. G. Gui-gues nous fait une rapide description. Il noubliepas en terminant de nous parler de la merveilledhorlogerie quest cette horloge de Saint-Jean,tout dernièrement réparée. A la fin nous trou\onsencore quelques lignes sur larchevcchc et sur la 4i6 jRcbuc lie r^rt cbréticn. manicanterie, lancienne école des chantres,monu-ment du X siècle qui malheureusement seffriteen réclamant une barrière défensive. M. Guiffrey, avant dêtre nommé administra-teur des Gobelins, a pendant une partie de sa vievécu dans ce palais Soubise, les Archives Natio-nales, quil connaît mieux que personne. Il en a pénétré larchitecture, comme aussi les plus artis-tiques détails, les fines boiseries, les gracieuxdessus de portes, enfin tous ces côtés délicats quifirent de lancien hôtel du connétable Olivier deClisson transformé par les Guise, puis par lesSoubise, une des demeures les plus somptueusesdu XVIII<- siè Tapisserie de la Dame à la Licorne. Bourges, sur laquelle planent deux puissantesmémoires, celle de Jean de Berry et celle deJacquesCœur,renferme de nombreux monumentscivils qui, dans lhistoire de larchitecture fran-çaise, occupent une place importante. M. Gonseles avait naguère étudiés, et le résume quil nousdonne ici du palais du duc Jean, de lhôtel deJacques Cœur, de lhôtel Lallemand, de lhôtelCujas, du petit collège, de la de la reine é dexcellentes reproductions,est plus que suffisant pour nous donner lidéede limportance des monuments de la vieillecapitale du l^erry. Nous avons déjà fait connaissance avec /Vigues-Mortes, ses portes, ses tours, ses remparts dansla France pittoresque de Robida. Ce nest passans un réel plaisir intellectuel quil me plaît derapprocher ici ces deux aperçus. Pris à un point Btbltograpl)te. 417 de vue absolument différent, lun lautre se com-plètent, et M. H. Havard avec ses connai
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