. Annales des sciences naturelles . des dimen-sions un peu plus faibles, chez cerlainsPorcellaniens {Porcellana rupicola,daprès M. Boas) ;chez les Galathéens(fig. 18, Munidopsissigsbei) on trouve éga-lement toujours unépipodite sur les pat-tes-mâchoires posté-rieures, on nen voitplus que des tracespresque imperceptibles chez les .^^gléinés, et ces tracesdisparaissent elles-mêmes complètement chez les Porcella-niens. Quant aux épipodites des pattes thoraciques, ils sontlocalisés, quand ils existent, sur les trois paires de pattesantérieures, et se retrouvent tantôt sur toutes ces pattes,tantôt


. Annales des sciences naturelles . des dimen-sions un peu plus faibles, chez cerlainsPorcellaniens {Porcellana rupicola,daprès M. Boas) ;chez les Galathéens(fig. 18, Munidopsissigsbei) on trouve éga-lement toujours unépipodite sur les pat-tes-mâchoires posté-rieures, on nen voitplus que des tracespresque imperceptibles chez les .^^gléinés, et ces tracesdisparaissent elles-mêmes complètement chez les Porcella-niens. Quant aux épipodites des pattes thoraciques, ils sontlocalisés, quand ils existent, sur les trois paires de pattesantérieures, et se retrouvent tantôt sur toutes ces pattes,tantôt seulement sur la première, ou parfois aussi sur laseconde dentre elles, latrophie, des épipodites thoraciquesse faisant régulièrement davant en arrière. Les épipoditesthoraciques, dans un état plus que rudimentaire, paraissentse retrouver encore sur les trois paires de pattes antérieuresde YJEglea lœvis; dans les autres groupes de la famille ils nesont connus que dans la tribu des Galathéens; et dans cette. Fig. 10. LES gâlathéidés. 215 tribu, chez certaines espèces seulement des genres Galathea,Galacantlia, Blunidopsis et Orophorhfjnchus; on ne connaîtpas dépipodites tlioraciques chez les Munida^ mais commeles Galacantlia, et indirectement les autres Crustacés aveu-gles paraissent dériver de ce dernier genre, il est probableque certaines espèces de Munides en sont ou en ont été pour-vues. Les Diptycinés sont, de tous les Gâlathéidés, ceux quiséloignent le plus des Macroures par latrophie de leursépipodites : ces organes font défaut ou sont très rudimen-taires sur tous les appendices chez les Diptychus (É, fîg. 16,p. 213) et les Ptychogaster; ils sont réduits mais bien repré-sentés sur les pattes-mâchoires de la première paire chezles Eiimunida, qui, à ce point de vue, ressemblent tout àfait aux Paguriens primitifs et beaucoup aux y^^gléinés. De ce qui précède, il résulte que la valeur systématiquedes épipodites est tr


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