. Les trois poèmes . • • A LA HAYE, ET A PARIS, Chez P. D. LANGLOIS, rue du Petit Pont, près lepetit Châcelet, au Saint Efprit couronné. C=T ??—?????. ? , , ? M. D C C. L X I X. r :/i t X % XX XX SXXSttXt SXXt *ï* *IS tït#| 4 ^ké^ ^^#tt*f^r ^.^r h ^ ^ ^a^ XXXX ^£ && 2 S *^£ XXXX % A** t! *r v*xxxxr v%r s PREFACE. i3l lon en croit plufïeurs Perfonnes dungoûcfur, il neft pas poflible de faire, en français,un bon Pocme fur lAgriculture : ceft. dansce genre, difent-ils, que notre Langue faitfentir fa ftérilité de fon ingratitude j &: loinde pouvoir alors nous exprimer en Vers avecquelque élégance,
. Les trois poèmes . • • A LA HAYE, ET A PARIS, Chez P. D. LANGLOIS, rue du Petit Pont, près lepetit Châcelet, au Saint Efprit couronné. C=T ??—?????. ? , , ? M. D C C. L X I X. r :/i t X % XX XX SXXSttXt SXXt *ï* *IS tït#| 4 ^ké^ ^^#tt*f^r ^.^r h ^ ^ ^a^ XXXX ^£ && 2 S *^£ XXXX % A** t! *r v*xxxxr v%r s PREFACE. i3l lon en croit plufïeurs Perfonnes dungoûcfur, il neft pas poflible de faire, en français,un bon Pocme fur lAgriculture : ceft. dansce genre, difent-ils, que notre Langue faitfentir fa ftérilité de fon ingratitude j &: loinde pouvoir alors nous exprimer en Vers avecquelque élégance, nous ne le pouvons pasmême en Profe, Se il ne nous eft permis quedafpirer au foible mérite de la clarté Ôc dela précifion ( ï ). Ceft, fans doute, cette difficulté, regar-dée comme infurmontable, qui a décidé Boi-leau à ne donner, dans fon Art poétique, ( ï ) Difcours fur les Géorgicjucs de Virgile ,• parlAbbé Des Fontaines» a iij vi PREFAlestroispomes00goug
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