Revue pittoresque : musée littéraire . utomne,M. Henry de Roseray se promenait avec sa femmedans la grande allée des Tuileries; la lune de mieldurait encore a en juger par leurs regards tendre-ment amoureux. Depuis une demi-heure ils parlaient de .M. dIlar-court quils navaient pas revu depuis le contratde mariage; sa vieille mère était allée le rejoindreà Nancy où elle avait encore sa famille. — Mon Dieu ! dit tout h coup Jenny, navez-vous pas vu sous les maronniers!... — Quest-ce donc ? demanda Henry. — Voyez !... Henry vit alors son cousin, qui promenait à devinez qui? La jolie ti
Revue pittoresque : musée littéraire . utomne,M. Henry de Roseray se promenait avec sa femmedans la grande allée des Tuileries; la lune de mieldurait encore a en juger par leurs regards tendre-ment amoureux. Depuis une demi-heure ils parlaient de .M. dIlar-court quils navaient pas revu depuis le contratde mariage; sa vieille mère était allée le rejoindreà Nancy où elle avait encore sa famille. — Mon Dieu ! dit tout h coup Jenny, navez-vous pas vu sous les maronniers!... — Quest-ce donc ? demanda Henry. — Voyez !... Henry vit alors son cousin, qui promenait à devinez qui? La jolie tille au bouquet deviolettes que nous avons vue au débul de cette his-toire. — Tout cela est bien étonnant, dit-il avec unsoupir de regret à sa folâtre jeunesse. Si javaisfait un pas de plus dans les Tuileries le jour dubouquet de violettes, qui sait si les rôles ne seraientpas changés? — Et qui sait, dit le diable qui passait par là,si les rôles ne changeront pas ! Loin. (La fui au iirochnin nutnero)..
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