. Histoire des philosophes modernes. A» Pibrac , ^j/iime lEfat tel que m le vois être iSil ejl royal, aime la royauté,: . ^. ? • Sil ejt de feu j ou bien communauté,4inis ^i, car Dieu t^.afm naltrçS^ PRELIMINAIRE, ïfN, B, Le célèbre M. Haies y undes plus grands hommes de ce fiè-cle 3 devoit entrer dans cette claflede Phyficiens modernes ; mais jenai point encore reçu les Mémoiresde fa vie ^ que jattends, ôc je naipas cru devoir différer plus long-temps la publication de ce Volumedéjapromife depuis près dune an-;née. Comme ce Savant a beaucoupécrit fur THiftoire naturelle^ je lemettrai ave
. Histoire des philosophes modernes. A» Pibrac , ^j/iime lEfat tel que m le vois être iSil ejl royal, aime la royauté,: . ^. ? • Sil ejt de feu j ou bien communauté,4inis ^i, car Dieu t^.afm naltrçS^ PRELIMINAIRE, ïfN, B, Le célèbre M. Haies y undes plus grands hommes de ce fiè-cle 3 devoit entrer dans cette claflede Phyficiens modernes ; mais jenai point encore reçu les Mémoiresde fa vie ^ que jattends, ôc je naipas cru devoir différer plus long-temps la publication de ce Volumedéjapromife depuis près dune an-;née. Comme ce Savant a beaucoupécrit fur THiftoire naturelle^ je lemettrai avec les Naturaliftes. Ainfton trouvera fon Hiftoire dans cellede ces ci; EXPLICATION DU FRONTISPICEET DES ALLÉGORIES; NO us fubftituons toujours àregret des Allégories aux Por-itraits des Philofophes ^ parce quenous fentons parfaitement que cettefubftitution eft un foible dédomma^gement des Portraits ; mais nousne connoifTons pas dautre moyende confoler le Public à cet é une perte plus encore pournous que pour lui ; car les defleins& la gravure des Allégories fontun objet de dépenfe plus confidé-rable que les defleins ôc la gravuredes Portraits. Nous avons donc unintérêt particulier de faire la re-cherche la plus exacte de ces Por^i \EX?LJCAT10N;SCc. IiiJ traits : auflTi continuons-nous à nousdonner beaucoup de peine pournous les procurer. Malgré nos perquifitions & nosenquêtes, nous navons pu en avoirque trois pour ce Volume. Nous encomptions quatre^ parce que nousavions appris que M. lAbbé deMolieres avoir été peint deux de fes Portraits quon dit êtrebeau, eft perdu. Lautre eft entreles mains dune de fes pa
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