. Poësies . fon Apologie delà Mode , 60 Epître chagrine fur le Débordement de lOrne , 61 LOrigine du Tire-Bouchon , 6f Reponfe à une Epître qui avoit été adrelTée à lAuteur , à lOccafion de fon Difcours fur le Ronge , 63 LEau dHipocrenc , 69 Le Bafilic , à Mademoiselle de * * * , 70 jiz TABLE DES PIECES. Stances à Amire, page 71 La Toilette de lAge dor , 73 La Turogenefie ou lOrigine du Fromage , à Monfîeur le Chevalier de L * * * , au Pont-1Evêque , 7; Etrennes à Madame la Marquife de * * *, en lui envoyant un petit Tablier garni de nœuds, 80 La Balance des Efprits , 8 3 Le Retour du Printems
. Poësies . fon Apologie delà Mode , 60 Epître chagrine fur le Débordement de lOrne , 61 LOrigine du Tire-Bouchon , 6f Reponfe à une Epître qui avoit été adrelTée à lAuteur , à lOccafion de fon Difcours fur le Ronge , 63 LEau dHipocrenc , 69 Le Bafilic , à Mademoiselle de * * * , 70 jiz TABLE DES PIECES. Stances à Amire, page 71 La Toilette de lAge dor , 73 La Turogenefie ou lOrigine du Fromage , à Monfîeur le Chevalier de L * * * , au Pont-1Evêque , 7; Etrennes à Madame la Marquife de * * *, en lui envoyant un petit Tablier garni de nœuds, 80 La Balance des Efprits , 8 3 Le Retour du Printems , 8 6 Narcifle , 89 Fragment, 90 La Caffetiere renverfec , 9 z Le Veritable Amour , 9 S Fragment, 96 Le Télefcope proferit à Cythere , à Madame de *** , 97Requête au Sénat de Cythere , en faveur du Télefcope que fon Arrêt a proferit , 10 j Le Berger de la Mue , petite Rivière , près de Caen, à une aimable Nymphe du Canton , ici Fin de la Table» POÉSIES D E M. V A B B É A MAESTRICHT, Çhçz Jean-Edme Dufour & Piiil. Roc:Imprimeurs & Libraires , aflbciés. M. DCC. LXXV1. îj Y 7 E ùms allez particulières, nous ne pouvons^uere donner au Public dautres lumièresfur fa naiffance, tant il avoit lui-mêmedindifférence pour la vanité de la réputa-tion. Nous croyons quil étoit fils dun hom-me de commercé ; nous favons que fon peude fortune fut ce qui te détermina princi-palement à entrer dans létat Eccléfîaitique,& que fon éducationTut négligée au point • quil avoit environ dix-huit ans lorfquiicommença fes études. Il étoit né avec le goût & le talent de laPoéfie -, mais il na traité que de petits fu-jets, & fon genre étoit la délicateffe. Sespremiers Ouvrages le firent connoître avan-tageufement, & le répandirent daborddans ce que lon eft. convenu dappellerla bonne compagnie. Mais, foit que lAbbé De M. lAbbé Mangenot. izj Mangenot nen jugeât pas ainiî, foit queion caraclere, ennemi de toute dépendance
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