. L'étang des soeurs-grises . ªchait lefaux pour savoir le vrai. Elle mavait dit que cétait sa nièce. Doncelle mentait; donc elle cachait Honorine chez elle, ce jour-là . n regardait toujours la Sidonie. â De laudace! se dit-il. â A propos, madame Sidonie, reprit-il dun air délibéré, jaiune grosse nouvelle à vous donner, mais il faut la garder pourvous, car personne ne le sait encore, et cest M°Bissy, M Hono-rine, comme vous lappelez, qui a voulu que vous fussiez informéela première. Seulement, il ne faut pas parler de ces choses-là , tantquelles ne sont pas faites, cela porte malheur


. L'étang des soeurs-grises . ªchait lefaux pour savoir le vrai. Elle mavait dit que cétait sa nièce. Doncelle mentait; donc elle cachait Honorine chez elle, ce jour-là . n regardait toujours la Sidonie. â De laudace! se dit-il. â A propos, madame Sidonie, reprit-il dun air délibéré, jaiune grosse nouvelle à vous donner, mais il faut la garder pourvous, car personne ne le sait encore, et cest M°Bissy, M Hono-rine, comme vous lappelez, qui a voulu que vous fussiez informéela première. Seulement, il ne faut pas parler de ces choses-là , tantquelles ne sont pas faites, cela porte malheur. â De quoi sagit-il donc ? â Dun nouveau mariage pour M Bissy. â Oh ! Elle a bien raison. Elle est si jeune encore, et si puis, son premier mari, le pauvre cher homme, que Dieu aitson âme ! était bien vieux pour elle, pas vrai? â Parbleu ! â Et qui doit-elle é sans indiscrétion ?... â Il ny a pas dindiscrétion, M* Sidonie, puisque je vienspartie pour vous lannoncer. LE DROIT DU MARI 3C5. n B* sortait qii« le soir et se tenait dans lombre. Est-il riche ? Il est riche à présent et le sera toujours plus. Tant mieux! tant mieux! Et il est jeune, cette fois? 11 est encore jeune et je ne vous dis que ça ! Alors ils feront la paire, sécria Siclonie en riant. SQ*^ Livu. 39 306 ⢠. LETANG DES SÅURS-GRISES â Mais vous le connaissez bien. â Moil Qui donc! â Vous ne devinez pas? â à moins vous dites que jo lo ce La Sidonie se tut brusquement. â Vous vous taisez ? Je crois que vous brûlez î â Je ne sais je connais si peu de monde .. â Justement. Celui-là même a liabité votre auberge ! â M. Bertrand, alors! sécria la bonne femme, dont ce nom, eneffet,, brillait les lèvres depuis une minute. â¢â A la bonne heure vous y êtes. â Eh bien, vrai, ça no métonne Je me disais bien La Si


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