. Jean qui grogne et Jean qui rit . que Jean; les commisriaient aussi, de même les allants et venants, quiavaient été témoins du colloque,i Kersac et Jean rentrèrent après avoir fait le tourpar la rue de Richelieu, les boulevards, la rue dela Paix, les Tuileries et lavenue Gabrielle, dontKersac ne pouvait se lasser, à cause des chevauxquon j voyait. Dès que Jean eut installé Kersacdans sa chambre, il sempressa daller demanderde louvrage à Barcuss. BARCUSS. Non, non, mon bon garçon; tant que ton ami,M. Kersac, sera ici, tu nas pas besoin de fin-quiéter de ton ouvrage; tu travailles tant que tup


. Jean qui grogne et Jean qui rit . que Jean; les commisriaient aussi, de même les allants et venants, quiavaient été témoins du colloque,i Kersac et Jean rentrèrent après avoir fait le tourpar la rue de Richelieu, les boulevards, la rue dela Paix, les Tuileries et lavenue Gabrielle, dontKersac ne pouvait se lasser, à cause des chevauxquon j voyait. Dès que Jean eut installé Kersacdans sa chambre, il sempressa daller demanderde louvrage à Barcuss. BARCUSS. Non, non, mon bon garçon; tant que ton ami,M. Kersac, sera ici, tu nas pas besoin de fin-quiéter de ton ouvrage; tu travailles tant que tupeux, et du mieux que tu peux toute lannée;prends ta petite vacance; elle ne sera pas longue,il faut du moins quelle soit complète; ta prin-cipale besogne ici est de soigner et damuserM. Roger; va passer chez lui le temps qui te reste. JEAN. Merci bien, monsieur, merci; je profiterai avecplaisir du temps que vous voulez bien maccorder,pour faire voir à M. Kersac les belles choses deParis. BARCUSS. Où le mèneras-tu?. JEAN QUI RIT 369 A Notre-Dame dabord; puis à Notre-Dame desVictoires, au bois de Boulogne, au jardin dAccli-matation, sur les boulevards. M. Abel a dit quilnous mènerait aussi voir ses tableaux à lExposi-tion; et puis, nous nous promènerons un pou par-tout. BARCUSS. Cest très bien, mon ami ; ton choix est excellent. .\. Monsieur, je reviendrai pour servir le diner. BARCUSS. Gomme tu voudras; il ny a que M. Abel quivient dîner; il y a quatre couverts. Je servirai bientout seul. JEAN. Non, non, monsieur, je viendrai vous aider. Maisje dois dire, pour ne pas me faire meilleur que jene suis, que je désire bien voir M. Abel; jai à luiparler. BARCUSS. Ah! cest différent. Je compte sur toi, alors. » Jean alla savoir des nouvelles du petit le trouva dans le même état; après avoir dormiprès dune heure, il sétait trouvé mieux, mais plu-sieurs crises violentes avaient détruit leffet salu-taire de ce bon sommeil. Il sourit à Jean q


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