. Études de phonétique espagnole . Fig. tiers que cela est dû à linfluence de u = zu • (Cf. guapo,fig. 67). La sonorité de g non initial est presque complète ; lesdeux exceptions que jai constatées sont données auxfigures 71, 72. Ce changement est rare, mais nous allonsvoir souvent laction inverse — linfluence dune consonnesonore sur une sourde qui précède. I. Cf., pour litalien, Josselyn, (5/). rit., p. 116. — 76 RESUiME De cette étude des occlusives se dégagent les conclusionssuivantes: Les consonnes p, I, h g nont pas de pronon-ciation fricative constante, et partout où elles se trouventon


. Études de phonétique espagnole . Fig. tiers que cela est dû à linfluence de u = zu • (Cf. guapo,fig. 67). La sonorité de g non initial est presque complète ; lesdeux exceptions que jai constatées sont données auxfigures 71, 72. Ce changement est rare, mais nous allonsvoir souvent laction inverse — linfluence dune consonnesonore sur une sourde qui précède. I. Cf., pour litalien, Josselyn, (5/). rit., p. 116. — 76 RESUiME De cette étude des occlusives se dégagent les conclusionssuivantes: Les consonnes p, I, h g nont pas de pronon-ciation fricative constante, et partout où elles se trouventon peut les prononcer comme des occlusives, sans que cela. paraisse pédantesque. B et d sont toujours occlusives, saufquand elles se trouvent entre deux voyelles. Et même danscette position, d nest pas incontestablement fricatii, carsur 30 cas jai trouvé 15 occlusives.


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