Histoire de la chimie . le 10 avril 4823 à la Société Royale un mémoire swr lalidiisfonnation de di/féreulspnz en Ihpiides, dans lequel il décrrivait la liquéfactiondun grand nombre de gaz. Liqiiifaclioii delocide sulfureux. — « J(> renfermai, dit l^araday. du mercure etde lacide sulfurique concentré dans un luhe recoui-bé. Ayant amené ces deuxcoips à Tune des extrémités, je la chaulfai pendant que je conservai lautrefroide à laide de papier gris mouillé. Il se Ajrmait du gaz acide sulfureux dansles points où agissait la chaleur : mais ce gaz se condensait en passant à tra-vers lacide sulfu
Histoire de la chimie . le 10 avril 4823 à la Société Royale un mémoire swr lalidiisfonnation de di/féreulspnz en Ihpiides, dans lequel il décrrivait la liquéfactiondun grand nombre de gaz. Liqiiifaclioii delocide sulfureux. — « J(> renfermai, dit l^araday. du mercure etde lacide sulfurique concentré dans un luhe recoui-bé. Ayant amené ces deuxcoips à Tune des extrémités, je la chaulfai pendant que je conservai lautrefroide à laide de papier gris mouillé. Il se Ajrmait du gaz acide sulfureux dansles points où agissait la chaleur : mais ce gaz se condensait en passant à tra-vers lacide sulfurique. Toutefois, quand celui-ci fut satur(, lacide sulfureuxfinit par atteindre lextrémité froide du tuhe et sy condensa à létat après avoir laissé le tuhe se refroidir entièrement, on faisait couler lacidesulfureux liquide sur le mélange dacide sulfurique et de sulfate de mercure,une portion était réahsorbée, mais le reste tlottait dessus sans se mêler au li-quide infé Fis. 15. Tube do Faradav Hydrogène sulfuré. — « Un tube ayant été courbé et fermé à lextrémité la pluscourte, jy introduisis de lacide muriatic{ue très fort en me servant dun petitentonnoir, de manière à remplir presque entièrement le bras le plus court sansmouiller les parois du plus long. .le poussai ensuite une feuiHe de plaline ar-mée de petits rebords jusquà la surface du liquide, et je disposai dessus des pe-tits fragments de sulfure de fer, jusquà ce que le tube fut à peu près plein. Parce moyen, jempêchai que laction chimique ne commençât avant que le tubeeut été fermé. Il est évident que si cette action sétait déjà développée au mo-ment où lopérateur fermait le tube à la lampe, la pression du gaz, de dedans SG(J HiSTOIHE l)Ë LA CHIMIE en dehors, aurait empêché les parois du verre dacquérir une force sufrisanteAprès avoir fermé lappareil, je fis couler lacide muriatique sur le sulfure defer. Au bout dun ou deux
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