. Études de phonétique espagnole . on verra une médiale oùlocclusion nest pas complète ou ferme, et dont lexplosion Cf. adhésion, p. 93. — )9 — est paresseuse. Celle-ci est plus lente, mais en même tempsplus forte dans loJo (hg. 35), et locclusion est moins biengardée. Ce type avance un peu plus vers le fricatif dansdiida (fig. 45) ou ihSiie (fig. 5 i). Ensuite viennent les véri-tables fricatives. Dans les combinaisons médiates, (/ varie beaucoup. Dans;/(/ (e. g. ciiando) il est toujours une occlusive Id il lest généralement. Dans espaJda (fig. 49), lexplo-sion saute aux 3eux, mai
. Études de phonétique espagnole . on verra une médiale oùlocclusion nest pas complète ou ferme, et dont lexplosion Cf. adhésion, p. 93. — )9 — est paresseuse. Celle-ci est plus lente, mais en même tempsplus forte dans loJo (hg. 35), et locclusion est moins biengardée. Ce type avance un peu plus vers le fricatif dansdiida (fig. 45) ou ihSiie (fig. 5 i). Ensuite viennent les véri-tables fricatives. Dans les combinaisons médiates, (/ varie beaucoup. Dans;/(/ (e. g. ciiando) il est toujours une occlusive Id il lest généralement. Dans espaJda (fig. 49), lexplo-sion saute aux 3eux, mais locclusion nest, pas assez fermepour empêcher la sortie du souffle dans lequel les vibrationsse laissent très bien voir. Pour rd il v a variation, mais engénéral cest le tvpe fricatif quon rencontre. Dans sd, le dest plus souvent occlusif. Ainsi d occlusif se rencontre souvent à linitiale, et aprèsn, /, s. Le tvpe intervocalique est douteux : sur 30 cas quejai analvsés, il va i) occlusives et 15 D Fig. 50. A la finale il est toujours fricatif quand il est pro-noncé. La sonorité de d est indiscutable. A linitiale, locclusionest tenue assez longtemps et elle est tout à fait sonore. Le — éo — type usuel se voit à la figure 45. Dans les quelques excep-tions, qui se rencontrent assez rarement dailleurs, il y apresque toujours une occlusion sonore, bien que parfoisfort courte . Chez D seul jai constaté des exceptions. De temps en temps ces tracés accusent une prononcia-tion sourde, dans laquelle toute lexplosion est assourdiecomme dans le t anglais. La figure 50 montre quil y avaitune brève occlusion avant lexplosion, mais les vibrationsdes cordes vocales ne commencent quavec la variante à laquelle on pouvait sattendre est celle dela figure 51. Locclusion a eu lieu comme on le voit au !| ^(^ytvi/%Wl*<t»M,«/w^^^ Fig. 51. commencement de la ligne de la bouche : le levier sestabaissé, et les vibrations apparaissent ass
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