. Histoire littéraire de la France; ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres du l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres). ne succès- p- ^^•seur de ce grand Evèque; et un autre auteur célèbre du Paui. Mt. ême temps ne craint pas de dire quil éloit un parfait ?? -^^- ^•^•imitateur de sa vertu, et quil avoit comme lui la dignité Apôtres et le mérite de la vie des Anges. E P1T A P H E. Culmina sublimi tolluiit quse vertice cristas, Eximius mentis Perpetuu^ dederalDomno Mar
. Histoire littéraire de la France; ouvrage commencé par des religieux bénédictins de la Congrégation de Saint Maur, et continué par des membres du l'Institut (Académie des inscriptions et belles-lettres). ne succès- p- ^^•seur de ce grand Evèque; et un autre auteur célèbre du Paui. Mt. ême temps ne craint pas de dire quil éloit un parfait ?? -^^- ^•^•imitateur de sa vertu, et quil avoit comme lui la dignité Apôtres et le mérite de la vie des Anges. E P1T A P H E. Culmina sublimi tolluiit quse vertice cristas, Eximius mentis Perpetuu^ dederalDomno Martino. cujus sub niarmore jjausant Ossa veneratur qurB pia plebs scripsit christum, atque aurea multa. Sacrando Domiai vasa cruore dé cœlo, quu3 plurima cessit egenis, Fecit et ante suas scandere avis, atavisque potens fuit atque Seiiator ; Clarior at sua dum pauperibus nequc Martino soli tara grande sepulcruui Coustruxit, tumulum fecit et esse licet ante pedes Martini contumeletur, In ccclo simili gaudet uterque de Superis super hoc, boue pastor, ovili, Perpetuusque tuam perpétua patriam. V Spic. t. o. p. 105. 108. » p. 108. pr. p. 10. Spic. p. 105. 624 S. PERPETUE, §• n. SES ÉCRITS. CE que lon nous a conservé des écrits de S. Perpétue,est peu de chose, si lon a égard au volume; maissi lon considère le mérite de ce qui y est contenu^ lonne peut disconvenir que ce ne soient des monuments pré-cieux. 1. Nous avons de lui un testament quil dressa lui-même, et quil signa le premier jour de Mars 475. Il enfit un double, et en laissa un exemplaire entre les mainsde la Vierge Dadolene, et confia lautre à Delmace,quil qualifie son fils, avec ordre à lui de donner lun etlautre après sa mort au Comte Agilon, pour louvriret le lire en présence des Prêtres, des Diacres et des Clercsde son Eglise. On regarde cette pièce comme un illustre monumentde lantiquité
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