Archive image from page 543 of Denkende Tiere Beiträge zur. Denkende Tiere : Beiträge zur Tierseelenkunde auf Grund eigener Versuche ; der kluge Haus und meine Pferde Muhamed und Zarif ; mit Abbildungen nach eigenen Aufnahmen denkendetierebei00kral Year: 1912 514 Zusätze. que cet animal executoit dans la perfection, l'Auteur que je viens de citer obferve, que fi Ton approchoit de l'oeil du cheval une carte que tiroit quelque perfonne de l'affemblee, il frappoit auffi-töt autant de coups de pied qu'il y avoit de points für la carte. ,11 frappoit encore, continue-t-il, autant de coups de pied
Archive image from page 543 of Denkende Tiere Beiträge zur. Denkende Tiere : Beiträge zur Tierseelenkunde auf Grund eigener Versuche ; der kluge Haus und meine Pferde Muhamed und Zarif ; mit Abbildungen nach eigenen Aufnahmen denkendetierebei00kral Year: 1912 514 Zusätze. que cet animal executoit dans la perfection, l'Auteur que je viens de citer obferve, que fi Ton approchoit de l'oeil du cheval une carte que tiroit quelque perfonne de l'affemblee, il frappoit auffi-töt autant de coups de pied qu'il y avoit de points für la carte. ,11 frappoit encore, continue-t-il, autant de coups de pied qu'une montre marquoit d'heures, exprimant les quarts par de petit coups redoubles, comme une montre ä repetition. On lui demandoit s'il fgavoit l'Arithmetique; il faifoit figne qu'oui: alors quiconque vouloit, lui faifoit une queftion, & lui demandoit, par exemple, combien fönt huit & fix, il frappoit du pied quatorze coups, fon maitre prenoit plufieurs pieces de monnoye de differentes perfonnes de l'affemblee, & apres les avoir melees enfemble, il les jettoit l'une apres l'autre dans un monchoir au cheval, qui le prenoit dans fa bouche, & portoit.ä chaque perfonne la piece qui venoit d'elle.' M. le Gendre a la bonne foi d'ajoüter, qu'en tout cela il n'y a point d'exageration, & que tous ces tours ont ete vüs par un grand concours de Spectateurs. II fe retranche ä dire; qu'on ne peut pas douter que ce cheval ne füt guide par les fignes, les geftes ou la voix de fon maitre: du refte il convient, qu'il eft etonnant qu'il obeit fi bien ä des fignes imperceptibles aux affiftans; mais, ä mon avis, ce n'eft pas affez: je ne fgai fi on s'avan- cera trop, en difant que pour entendre & executer ces fignes, s'il y en avoit, il falloit peut-etre que le cheval eüt autant d'esprit que fon maitre.' (Amsterdam 1749, II. Band, S. 61.) Aus dem 17. Jahrhundert stammt eine vergilbte Schausteller-Anzeige: gebermännlfilig fec 6cf annt äniagf / baf aOliei: ein fceffliigäoUdnbifäi
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