. Études de phonétique espagnole . 176. mais elle existe. Un exemple frappant se voit à la figure173 (velar, E), et lon verra que l/du même mot est consi- — 17) — dérablenient nasalisé. Dans gurra (Hg. 172, E) Vr, qui estpar exception fricatit, accuse une forte nasalité. Cf. aussi IVde naraiija (lîg. 161) et de enferma (fig. 162). Dans ce der-nier mot on remarquera la nasalité sourde d/. Une autreconsonne qui se prête bien à la nasalisation est /, et on envoit un exemple à la figure 174. En combinaison avec une consonne nasale, locclusivesonore devient très souvent une vraie occlusivu nasale,
. Études de phonétique espagnole . 176. mais elle existe. Un exemple frappant se voit à la figure173 (velar, E), et lon verra que l/du même mot est consi- — 17) — dérablenient nasalisé. Dans gurra (Hg. 172, E) Vr, qui estpar exception fricatit, accuse une forte nasalité. Cf. aussi IVde naraiija (lîg. 161) et de enferma (fig. 162). Dans ce der-nier mot on remarquera la nasalité sourde d/. Une autreconsonne qui se prête bien à la nasalisation est /, et on envoit un exemple à la figure 174. En combinaison avec une consonne nasale, locclusivesonore devient très souvent une vraie occlusivu nasale, toutelocclusion étant fortement nasalisée. Dans caramba (fig, 175A) la nasalité est même plus sensible pendant le /;, et au. Fis. i- moment de lexplosion, quau début de lw. Un fort bonexernple de ce b nasal se voit à la figure 175* où la nasalitéva en croissant jusquau moment de lexplosion, où le leviertombe brusquement. Cf. aussi mande, fig. 148. Le typegénéral est celui de campo (fig. 176), où la nasalité cesseun peu avant lexplosion. Dans ce dernier mot, locclusivesourde^ devient une occlusive sonore. Toutefois la nasalisation de locclusion dune sourde estassez commune; on le verra en comparant les tracés decampo (fig. 176 A) et de sentir (fig. 177 C). Dans ce derniermot les vibrations laryngiennes persistent pendant toute - :76 - locclusion, saffaiblissent pendant lexplosion pour reprendreaussitôt après. Locclusion est très probablement nasalisée. Le type partait de cette combinaison est celui quon voità la figure 178 où C a prononcé emperador. La nasa-lité commence brusquement vers la fin de la voyelle, semaintient pendant une moitié de locclusion labiale, et àce moment la nasalité
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