. L'Abbe Constantin . VII Le lendemain matin, au retour de la manœuvre,Paul de Lavardens attendait Jean dans la cour duquartier. Il lui laissa à peine le temps de descendre decheval, et, dès quil le tint seul à seul : — Tout de suite, lui dit-il, tout de suite, — Raconter quoi ? — Mais ton dîner Parle-moi de madameScott et de miss Jai une telle envie Je les ai vues, moi, le Pas par 140 LABBP: CONSTANTIN Tu penses bien que je les guettais. MissBettina conduisait quatre poneys Ouelsponeys ! Je suis sûr quon ne trouverait pas


. L'Abbe Constantin . VII Le lendemain matin, au retour de la manœuvre,Paul de Lavardens attendait Jean dans la cour duquartier. Il lui laissa à peine le temps de descendre decheval, et, dès quil le tint seul à seul : — Tout de suite, lui dit-il, tout de suite, — Raconter quoi ? — Mais ton dîner Parle-moi de madameScott et de miss Jai une telle envie Je les ai vues, moi, le Pas par 140 LABBP: CONSTANTIN Tu penses bien que je les guettais. MissBettina conduisait quatre poneys Ouelsponeys ! Je suis sûr quon ne trouverait pas entreeux, à la toise, un centimètre de différence! Etcomme elle les menait ! De quelle main ferme etlégère! Je les ai salué Ai-je été remarqué.Mont-elles reconnu? As-tu parlé de moi? Quandme conduis-tu à Longueval? Aujourdhui, nest-cepas ? Mais réponds-moi, réponds-moi donc !—- Répondre ! répondre !... — Sans doute. — A quelle question dabord ? — A la dernière. — Quand je te


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