Oeuures morales et diuersifiees en histoires, pleines de beaux exemples, enrichies d'enseignemens vertueux, & embellies de plusieurs sentences & discours Lé tout tiré des plus signalez & remarquables autheurs grecs, latins & françois, qui ont escrit de tout temps, pour l'enseignement de toutes personnes, qui aspirent à vertu & philosphie chrestienne Reueues, corrigées & augmentées de plus des deux tiers, outre la precedente impression . pour laile quil eut de fe voir zfauueté, il oublia de repoulfer le Dauphin en la mer, à fii>.deregajgner aupluftoft Corinthe : Aumoyendequoy lepoilTon expir
Oeuures morales et diuersifiees en histoires, pleines de beaux exemples, enrichies d'enseignemens vertueux, & embellies de plusieurs sentences & discours Lé tout tiré des plus signalez & remarquables autheurs grecs, latins & françois, qui ont escrit de tout temps, pour l'enseignement de toutes personnes, qui aspirent à vertu & philosphie chrestienne Reueues, corrigées & augmentées de plus des deux tiers, outre la precedente impression . pour laile quil eut de fe voir zfauueté, il oublia de repoulfer le Dauphin en la mer, à fii>.deregajgner aupluftoft Corinthe : Aumoyendequoy lepoilTon expira fur la greue , auquel Periander depuis fit tai-re vne fort belle fcpulture:là où les Nautomiiers furent cru-cifiez. Voyez Ouid. ^,Ub.ç^.^»& alfcz dautres. Le Dauphin eft indice de feure retraidle, pource quequand il fent la tempefte il faultepar delTus leau, pour ad-pcrtir les mariniers dancrer &fe tenir au Haure . quil pronoftique le mauuais temps en la manièrefufdite,fe lançant hors de fcau,à caufe des exhalations quifefleuent du fond delà mer,quand il doit faire vne orage,lefquelles entretiennent lhyuer : ce qui faiél que lors leDauphin eft agité de chaleur, qui le faicl ainfi faulter horsde leau. Ccft pourquoy Pline dit que les Dauphms annô-/ccat la tempefte , quand ils fe meuuét en la mer : caln^e. Voyez ;us é$ lettres OEVVRES MORALES Tôurauoy anciennemêt onvfett es hant^etSyie CcurannesJC^fcheiEn^emyie^cjHeles banquets dt* vefprefontflwfdtihres ahx corps des hommes^ O fottr^no^^ C H A p. 14. Nciennement il eftoit permis dvfer es^^i banquets de couronnes de fleurs, violettes^^1 &rores,& de telles herbes quon vouloir,r(^ fors que dafchejOU grand ât^ ditDurisleSamien, que lafche eft iugu-bre,& appartient plus auxdueils quà gaye-té & refiouifTance. Pourquoy ils auoient de coaftume deioncher le farcueil de fueilles dafche, dcuant y mettre lescorps des m
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