. Rapport de la mission d'études de la maladie du sommeil au Congo français 1906-1908. ité ouest du même petit plateau que ce dernier. .Vu sud et à louest il est directe-ment en contact avec la brousse qui recouvre la partie du plateau. Les cases sont construitesde la même manière que les cases Ratékés : seules la lorme et les dimensions diffèrent. Icile toit est conique et les cases sont plus petites ; ce ne sont toutefois plus les taupinières quelon rencontre chez les fîondjos. Le village est mal tenu et malpropre, ou \ rencontre de nombreuses cases en ruines etinhabitées. An pied de lextr
. Rapport de la mission d'études de la maladie du sommeil au Congo français 1906-1908. ité ouest du même petit plateau que ce dernier. .Vu sud et à louest il est directe-ment en contact avec la brousse qui recouvre la partie du plateau. Les cases sont construitesde la même manière que les cases Ratékés : seules la lorme et les dimensions diffèrent. Icile toit est conique et les cases sont plus petites ; ce ne sont toutefois plus les taupinières quelon rencontre chez les fîondjos. Le village est mal tenu et malpropre, ou \ rencontre de nombreuses cases en ruines etinhabitées. An pied de lextrémité ouest du plaleaii piicilé. un marigol vieni se jeter dans le marigol contourne le plateau après avoir pris sa source dans des plaines dherbes inon-dées aux hautes eaux. Une allie de 400 mètres de longueur environ, dirigée ilu sud au nordet partant de la cour du poste, donne accès dans ces plaines. a|Uès (pie lon a traversé lemarigol sur quelques troncs de bois. Ruire le niiu-igot et lcmplacenunt du poste, le plateauest recouvert de grande raita/ ^^fX Sa/fo/ia Cromis Jf ZouAoMn et des envtj-jits.(/<•! cotu-hcs ^tU fs/xifees ûfùjji \ Fig. 07. — Loukolili :! Yilldfif Hinnijala. — Eu (pnllant Loukoléln poui se rendre au village Biungala,après avoir traversé la .Milice, on remontre dabord un espace broussailleux où se trouvaitinstallée autrefois une maison de counuerce. puis lon entre dans la forêt el lon tombe dansune dépression transformée, aux hautes eaux, en un véritable marécage. De là, toujours enforet, le chemin suivant les premières pentes dune petite colline de Lî mètres de haut, ren-contre le village Biniujala. en traverse les ditlércntcs parties el tinalement aboutit à uncanal de communication entre le Congo, la Likuala-Essahi cl luSa/tg/ia. Le village Bian-gala, chef Pembéle, comprend trois groupes de cases, séparées les unes des autres par deszones de terrains fort broussailleuse
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