Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . Fig. 338. HUMBERT III Sire de Beaujeude 1107 à 1 iq3. Fig. 339. AUXILIE DE SAVOIE Fille dAme III, comte de Savoie. D au lion d Les armes primitives de la maison de Savoieétaient un lion, cpie conserva une branche ca-dette. Cest à partir du xnr= siècle, pour rappelersa participation à la croisade, que cette familleadopta un blason de gueules à ne devait donc pas porter ce dernierblason. du comte de Savoie, nepouvait rester sans titre :il se qualifia de prince deBeaujeu (
Nouvelle histoire de Lyon et des provinces de Lyonnais, Forez, Beaujolais, Franc-Lyonnais et Dombes . Fig. 338. HUMBERT III Sire de Beaujeude 1107 à 1 iq3. Fig. 339. AUXILIE DE SAVOIE Fille dAme III, comte de Savoie. D au lion d Les armes primitives de la maison de Savoieétaient un lion, cpie conserva une branche ca-dette. Cest à partir du xnr= siècle, pour rappelersa participation à la croisade, que cette familleadopta un blason de gueules à ne devait donc pas porter ce dernierblason. du comte de Savoie, nepouvait rester sans titre :il se qualifia de prince deBeaujeu (Bellijociprinceps) et, dès lors, le Beaujolais eut le rangde haute baronnie. Dans les commencements, il compromit ladestinée de ses Etats, plus encore par détranges déterminationsque par ses échecs militaires, qui furent fréquents. Lapparitiondu spectre dun de ses gentilshommes, qui avait été tué dans un LUTTE DES COMTES ET DES ARCHEVEQUES 345. Fig. 34o. — lîELLE VILLE, -UULERANDE, combat contre des seigneurs foréziens, le poussa à faire le pèleri-nage de la Palestine où, sans se soucier de sa femme, et de sesenfants il prit lhabit de Templier. Pendant son absence, ses Belleville nétait encore,en 1158, quun lieu di t(locas) dépendant dela paroisse dAigue-rande. Celle ci, dont lenom germanique (Borddeau), décèle lorigine,avait remplacé, à lépo-quedes invasions, Lun-na (Ilist., t. I*1, p i4y)ruiné et abandonné ;niais, à son tour, ellefut délaissée pour lanouvelle ville et nenest plus aujourdhuiquun hameau. Le nom dAiguerande,Evirande, Iguerande,Ingrande, Guérande(p. 231, fig. 221), passeaujourdhui pour indi-quer, par son étymolo- gie, un territoire formant limite à lépoque gauloise (eus, eau, rand limite). Mais celleconstruction nest pas régulière, on aurait dit Ra,ndève (leau limite). En second lieu,les éléments de ce nom ne sont pas celtiques, mais français (aiguë, eau) et germa-nique (raml, bor
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