Théâtre à l'usage des jeunes personnes . a pauvre enfant Nentends-je pas la voix, de Madame?.... L U C ET T E, Mon Dieu oui, c*est-elle. ...Commeeîle âle!,... Madame Célie la * COMÉDIE. I SCÈNE VIII. LA COxMTESSE , CÉLIE , xMadameDUFRAIGNE, LUCETTE. CÉLIE. \J N fauteuil, un fauteuil !.... Javois prévu cela j eile na pu soutenii^ cette lecture Asseyez-vous, mon cœur. {^La Comtessesassied & tire son mouchoir^ dont elle secouvre le visage.) L u c E T T E. Madame va se trouver mal CÉLIE. Cela passera, cela ,. LucETTE 3 bas à Madame Dufraigne, Mais, regardez donc la m
Théâtre à l'usage des jeunes personnes . a pauvre enfant Nentends-je pas la voix, de Madame?.... L U C ET T E, Mon Dieu oui, c*est-elle. ...Commeeîle âle!,... Madame Célie la * COMÉDIE. I SCÈNE VIII. LA COxMTESSE , CÉLIE , xMadameDUFRAIGNE, LUCETTE. CÉLIE. \J N fauteuil, un fauteuil !.... Javois prévu cela j eile na pu soutenii^ cette lecture Asseyez-vous, mon cœur. {^La Comtessesassied & tire son mouchoir^ dont elle secouvre le visage.) L u c E T T E. Madame va se trouver mal CÉLIE. Cela passera, cela ,. LucETTE 3 bas à Madame Dufraigne, Mais, regardez donc la mine satisfaitede Madame Cé Madame Dufraigne, est , O vj ji4 ^ ^ BONNE MERE, C É L I E. Laissez moi seule avec elle Allez, allez, je vous en prie, la Bonne j ôc vous, Lucette, ne vous inquiétez pas En vérité il ny a pas de quoi : , à part ^ en regardant Celle» Cela est trop singulier ^ il faut quil ydit quelque chose là-dessous. [Elle sonavec Madame Dufraigne.). COMÉDIE. 32/ SCENE IX. LA COMTESSE, CÉLIE. C É L I E , à pan, v>«OMMENT la préparer à tant de bon-heur!... ÇHûut.) Ma sœur > calmez-voasdonc. Réellement votre douleur est dé,. La Comtesse,Elle est excessive du ,. Mais enfut-il jamais de mieux fondée?.... C E L I E. Oh, pour fondée! Il faut pourtant tâcher den modérer lexcès,... car enhn,vous ne pouvez vous dispenser de retour-ner là La Comtesse, j^ levant. Ah 5 vous avez raison, & je ne de-vois pas en sortir , mais vous mavez eu-traîné ^i6 LA BONNE MÈRE, C É L I E. Vous étiez prête à vous é Comtesse. Et ma fille, que pensera-t-elle dunesemblable foiblesse ? Venez , rentrons ;conduisez-moi.,.. C É L I E. Rien ne presse. La ma fille va venir me : C É L I e. Non, jai chargé son père de la retenir,ôc il est convenu quon lira toujours lecontrat en votre absence ; quand h lec-ture sera finie,
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