. Bulletin de la Société géologique de France. les relations de cette bor-dure avec le grand massif anticlinal de Carpiagne-St-Cyr et de laTête de Puget. Lexistence du Cénomanien et du Turonien à Chape-lette et un peu au nord du village dEoures vient encore à lappui duraccord que nous indiquons dans la coupe IV, car ce même Céno-manien et ce même Turonien se retrouvent à la Penne, au duMassif de Carpiagne-St-Cyr. (1) Collot : B. S. G. F. (3), XVIIl, p. 66. 21 Décembre 1895. - T. XXIII. Bull. Soc. Géol. Fr. — 33 514 E. FOURNIER lA La série de Garpiagne-St-Cyr et de la Tête de Puget est tr
. Bulletin de la Société géologique de France. les relations de cette bor-dure avec le grand massif anticlinal de Carpiagne-St-Cyr et de laTête de Puget. Lexistence du Cénomanien et du Turonien à Chape-lette et un peu au nord du village dEoures vient encore à lappui duraccord que nous indiquons dans la coupe IV, car ce même Céno-manien et ce même Turonien se retrouvent à la Penne, au duMassif de Carpiagne-St-Cyr. (1) Collot : B. S. G. F. (3), XVIIl, p. 66. 21 Décembre 1895. - T. XXIII. Bull. Soc. Géol. Fr. — 33 514 E. FOURNIER lA La série de Garpiagne-St-Cyr et de la Tête de Puget est très régu-lière, néanmoins on yconstate des étirementsdans la partie septen-trionale surtout, où leNéocomien et le Valan-ginien sont très ré sud, cest la dolomiequi présente un amin-cissement qui est com-pensé par un dévelop-pement considérable ducalcaire à Diceras. Le Massif triasique St-Julien situé entre lanticlinal dAllauch et |)^ celui de Garpiagne a .2 as o S a ,_. servi de dôme de lami-nage. Toutes les couchesl!^^ supérieures à rinfralias° ont dû venir sécraser\^ contre lui et se rompreS dans la partie centraleà pour laisser pointer lej3 I Trias et ^2. Lérosion a complété•3^ s lœuvre de létirement¥% 1 en achevant de dénuderii* le dôme de ématiquement, les^^2 plis de la coupe IV ont;S I j- pris successivement lesM a1 jEormes indiquées de Saint- S. :^COCU I -a âi^ la fig. < Julien est séparé de lacuvette synclinale cré-I 3^ tacée de Montespin par;ï;g rt une bande dOligocè 1^ En certains points (nons loin de laqueduc de la ÉTUDES STRATIGRAPHIQUES SUR LE MASSIF dALLAUCH 515 route des Camoins, par exemple) cet Infralias est rejeté sur lOligo-cène. Le massif a donc subi des mouvements importants postérieursà lépoque tongrienne. Nous constaterons le même fait sur labordure est. Au de Montespin on voit le Trias décrire une boucletrès resserrée, dont la
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