L'illustration : journal universel . uivez-moi ! Pierre Bénard a profité de lacontusion pour se brûler la cervelle, et Guillaume unit sa filleau caissier. Drôle de famille ! Le succès a été étourdissant. Ja-mais le canal Saint-Martin navait entendu pareille tempêteretentir sur ses rivages. Cest un mélodrame très-propre-ment bûché. On a nommé A1A1. Dupeuty et Cormon. Pour clore, vous parlerai-je de deux imperceptiblesvaudevilles, joués, 1° la Contre-Basse, au Palais-Royal ; 524 LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. 2° le Troisiè-me Mari, authéâtre de laBourse. CeTroisième Ma-ri nesl pas au-tre chos
L'illustration : journal universel . uivez-moi ! Pierre Bénard a profité de lacontusion pour se brûler la cervelle, et Guillaume unit sa filleau caissier. Drôle de famille ! Le succès a été étourdissant. Ja-mais le canal Saint-Martin navait entendu pareille tempêteretentir sur ses rivages. Cest un mélodrame très-propre-ment bûché. On a nommé A1A1. Dupeuty et Cormon. Pour clore, vous parlerai-je de deux imperceptiblesvaudevilles, joués, 1° la Contre-Basse, au Palais-Royal ; 524 LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. 2° le Troisiè-me Mari, authéâtre de laBourse. CeTroisième Ma-ri nesl pas au-tre chose quela chanson deBéranger, dé-rangée en vau-deville. Madame Al-bert rentraitdans celte piè-ce, et avecbeaucoup à laCon-tre-Basse, elleprocède dunair de Guil-laume Tell : 0Mathilde! ido-le de mondme!—La pièceest ornée dunlion pour rire,quisappeleliel-œil, dun amou-reux qui sap-pelle Alfred ,dun oncle fé-roce et mystifié,et dune pupille,dont le nom setermine en cause, on. (Théâtre de la Gaieté. — Le Canal Saint-Marîin, 3e acte.) chante, on jouelair en ques-tion, on se fâ-che, on se rac-commode , etM. Alfred épou-se mademoi-selle Clara ouIrma. Cest lecas de dire avecArlequin : Fi-nis corona tau-pus, cest-à-dire , la Dncouronne lestaupes. A propos demystification, ily en a une quidure depuis troplongtemps pourêtre nouveauxinculpés vien-nent encore derépudier touteespèce de pa-ternité au sujetde la Tour deBabel. Ne se-rait-il pas tempsdeu finir aveccet ennuyeuxdonjon ? Quenpense M. Sam-son de la Comé-die-Française? PAROLES DE M. BONHOMME. LE PRINTEMPS. MlSIQlE I)E M« EMMA SINGEL PIANO. #=«- I Allegretto. S *=% W- & S^ «=¥ i -*—ç- 2=£ -c— -f—s- ? as t- ->—?- £ -?—e- CHANT. ° 3^¥ m ~loco. Voi - - ci le prin - - temps Viens fuy - ons aux champs Mon an î#* ge Lar - bus - te flé- ! r- m ggg EB r? tt< ^=?= r r r r =a- f t r r i f=^= ^— Wf—b-
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