. Bulletin de la Société philomathique de Paris. Société philomathique de Paris; Science. J. DESCHAMPS. CAUSTIQUES ET ANTICAUSTIQUES 325. Ed partant des positions extrêmes Pi C et Pi C (fig. 22), et en tour- nant d'une manière continue, on arrive aux positions Pi L, Pi L', pour lesquelles l'angle d'incidence est égal à l'angle limite. Il suit de là que la partie de la sphère correspondant à l'arc L L' n'intervient pas dans la réfraction. Il y a donc, dans le cas présent, deux groupes de rayons rétractés très nette- ment séparés l'un de l'autre, auxquels correspondent deux arcs d
. Bulletin de la Société philomathique de Paris. Société philomathique de Paris; Science. J. DESCHAMPS. CAUSTIQUES ET ANTICAUSTIQUES 325. Ed partant des positions extrêmes Pi C et Pi C (fig. 22), et en tour- nant d'une manière continue, on arrive aux positions Pi L, Pi L', pour lesquelles l'angle d'incidence est égal à l'angle limite. Il suit de là que la partie de la sphère correspondant à l'arc L L' n'intervient pas dans la réfraction. Il y a donc, dans le cas présent, deux groupes de rayons rétractés très nette- ment séparés l'un de l'autre, auxquels correspondent deux arcs d'anticaustique également séparés l'un de l'autre. La courbe anticaustique est donc, dans le cas actuel, composée de deux parties limitées et distinctes l'une de l'autre, les tangentes aux points extrêmes étant les parallèles menées par le pôle aux rayons menés par les points incidents extrêmes. Nous avons supposé, jusqu'à présent, le point lumineux Ps inté- rieur à la sphère réfringente. Quand il lui est extérieur, on se trouve dans le troisième cas où l'on aK > 1, et par conséquent la courbe anticaustique se compose de deux parties séparées. La seule remarque à faire, consiste à observer que, pour interpréter la marche des rayons lumineux comme correspondant au passage de la lumière du milieu intérieur d'indice «i dans le milieu extérieur d'indice n^, il faut supposer que les rayons du premier groupe corres- pondant à la partie de la sphère la plus voisine du point Pi. forment, non pas un faisceau divergent comme dans le cas du point intérieur, mais au contraire un faisceau convergent, les rayons qui le forment étant arrêtés par la sphère réfriugente avant leur convergence. En raison de cette circonstance, les rayons incidents des deux groupes ne peuvent pas se réfracter simultanément, comme ils peuvent le faire lorsque le poin
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