. Les Français peints par eux-mêmes . st le chef, et qui tremble sous son re-ganl, vous reconnaîtrez toutes les empreintes du vice,toutes les effigies de la débauche. Celui-ci vient du ba-gne, celui-là est le commensal habituel dune beauté peufarouche de la rue Pierre-Lescol ; le troisième est unbanquier de hiribi, et ainsi des autres. Quelques-unsseulement représentent la loi; mais la loi honteuse, laloi qui se cache et qui a peur : car, si la loi était recon-nue, on lui ferait un mauvais on la tuerait. Mais arrêtons-nous, notre mission touche à sa avons raconté toutes les t


. Les Français peints par eux-mêmes . st le chef, et qui tremble sous son re-ganl, vous reconnaîtrez toutes les empreintes du vice,toutes les effigies de la débauche. Celui-ci vient du ba-gne, celui-là est le commensal habituel dune beauté peufarouche de la rue Pierre-Lescol ; le troisième est unbanquier de hiribi, et ainsi des autres. Quelques-unsseulement représentent la loi; mais la loi honteuse, laloi qui se cache et qui a peur : car, si la loi était recon-nue, on lui ferait un mauvais on la tuerait. Mais arrêtons-nous, notre mission touche à sa avons raconté toutes les transformations que subitle tyran destaminet, selon quil monte ou quil descendles degrés de léchelle sociale. Nv a-l-il pas de quoi trembler pour lavenir, quandon songe que cet liomuie (pie nous venons de voir avaitpeut-être eu lui létofle dun conquérant ou dun artiste;quil a usé son énergie dans loisiveté de la taverne; quilpouvait choisir pour modèle , César ou Lu-ther, et quil a préféré Balochard?. •*»fe^£?é^=;=—_&-


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