Traité d'anatomie humaine . pelant parleur aspect les cellules subhyaloïdiennes, que nous avons décrites plus haut; 2° descellules munies de prolongements proioplasmiques, toujours fort variables ennombre et en dimensions ; ces prolongements se terminent fréquemment par depetits renflements sphériques susceptibles de sisoler et de devenir libres ; 3° descellules caractérisées par lexistence, dans leur protoplasma, dune ou de i^lusieursvésicules à contenu clair et homogène. Ces trois espèces de cellules sont reliées lesunes aux autres par toute une série de formes intermédiaires, qui établissen


Traité d'anatomie humaine . pelant parleur aspect les cellules subhyaloïdiennes, que nous avons décrites plus haut; 2° descellules munies de prolongements proioplasmiques, toujours fort variables ennombre et en dimensions ; ces prolongements se terminent fréquemment par depetits renflements sphériques susceptibles de sisoler et de devenir libres ; 3° descellules caractérisées par lexistence, dans leur protoplasma, dune ou de i^lusieursvésicules à contenu clair et homogène. Ces trois espèces de cellules sont reliées lesunes aux autres par toute une série de formes intermédiaires, qui établissentnettement leur parenté et même leur identité. Les unes et les autres ne sont autrechose, en effet, que des cellules lymphatiques modifiées dans leur forme par lin-fluence du milieu oii elles sont appelées à vivre. La preuve nous en est fourniepar cette expérience intéressante de Schw.\lbe, c{ui, en emprisonnant un fragmentde corps vitré dans le sac lymphatique dune grenouille, a pu artificiellement. (H-ll. (»r (iL(»HK UCL 46b (!< 2 niilliinètres de diamè 4 J 4 reproduire avec des cellules lymphatiques toutes les diversités daspect que pre-sentent les cellules de lhuiiunir vitr(M\ Quant aux cellules du tissu i-onjonctitque la plupart des auteurs décrivent dansle corps vitré., elles paraissent ne pas exister chez ladulte. Kn anatoniie générale,le corps vitré doit être considéré comuie une formation conjonctive qui a perdupeu à peu, dans le cours du dcveloppement, ses éléments ligures, fihres et cellules,et dont la substanc(^ amorphe, deveniu^ très riche en eau, se trouve conslanimentparcourue par des cellules lynqdiatiques. D. Canal ci^nthal du coups vitré ou canal iivaloïdiln. — l/hum<ui vitr(M estIraversée darrière en avant i)ar un canal centraCe canal, mentionné pour la |»r(-niière fois par Cloquet en 181 !Sel miiuilieusement décrit cin-quante ans plus taid (18G9) parStilling. porte iudilTéremuient lenom


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