. Apres La Pluie Le Beau Temps . tre chambre. MADEMOISELLE P-RIMEROSE. Mon cousin, je suis désolée, honteuse davoiroublié cette pauvre enfant; jai été si bousculée, sitourmentée à Saint-Aimar, mon amie a été si disgra-cieuse, que je ne savais où jen étais. Je navaisplus la tête à moi. APRÈS LA PLUIE LE BEAU TEMPS 147M. DORMÈRE. Ny pensez plus, ma cousine, je vous en prie;Geneviève y aura gagné de passer une heure deplus avec ses amis et de faire une charmante petitepromenade en compagnie de sa bonne et de soncher Rame. Elle nest pas si à plaindre. MADEMOISELLE PRLMEROSE. Non, mais je nen suis


. Apres La Pluie Le Beau Temps . tre chambre. MADEMOISELLE P-RIMEROSE. Mon cousin, je suis désolée, honteuse davoiroublié cette pauvre enfant; jai été si bousculée, sitourmentée à Saint-Aimar, mon amie a été si disgra-cieuse, que je ne savais où jen étais. Je navaisplus la tête à moi. APRÈS LA PLUIE LE BEAU TEMPS 147M. DORMÈRE. Ny pensez plus, ma cousine, je vous en prie;Geneviève y aura gagné de passer une heure deplus avec ses amis et de faire une charmante petitepromenade en compagnie de sa bonne et de soncher Rame. Elle nest pas si à plaindre. MADEMOISELLE PRLMEROSE. Non, mais je nen suis pas moins coupable; ou-blier votre nièce! M. DORMÈRE. Vous ne loublierez pas une autre fois. ))M. Dormère prit le bras de Mlle Primerose et \amena dans un joli appartement ayant vue sur larivière et le parc; il y avait un salon, une chambreà coucher avec cabinet de toilette et une chambrepour la femme de chambre avec armoires à robes,à linge et tout ce quil fallait pour serrer touteespèce de choses. C^. W-S^ ,CG XIV INSTALLATION DE MADEMOISELLE PRIMEROSEÉDUCATION DE GENEVIÈVE Quand la confusion de Mlle Primerose fut passée,elle examina son appartement. « A la bonne heure, sécria-t-elle, voilà un joliappartement, et bien meublé, et tout ce quil fautsous la main. Venez donc voir, Azé Azéma!où êtes-vous? —- Serait-elle sortie, par hasard? Jeparie quelle est restée dans la cuisine à jacasseravec toutes ces femmes. Je ne comprends pas cesbavardes qui parlent, parlent comme des pies, àpropos de rien, qui disent cent paroles pour Azéma, elle ne vous laisse pas dire un mot;il faut toujours que ce soit elle qui ait la si du moins elle vous apprenait quelque chose !mais non; jamais rien. » Mlle Primerose continua à parler ainsi touteseule jusquà larrivée dAzéma ; ce fut alors un 150 APRÈS LA PLUIE LE BEAU TEMPS flux de paroles bien autre que ce quelle reprochaitta la pauvre fille, qui neut pas le temps de placeru


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