Histoire du théatre de l'opéra comique . tre ! Je forn Français, javons du cœur : Lun ne va pas fans lautre. Il avoue à fon Parrein fon amour poiltThérefe ; Se le Tabellion, voyant quilne peut ly faire renoncer, imagine defaire une loterie damour, dont Pierrotfera le lot. Les Filles tireront .gratis /mais les Veuves ny feront admifesquen consignant 500 livres : ce qui for-mera la dot de Pierro: qui na point defortune. Madame Râpé & MadameFroment y confentent, dans lefpérancede fe i!enlever lune à lautre j mais leTabellion a fi bien arrangé les chofes ,oue Pierrot tombe à Thérefe quil aime, Tij
Histoire du théatre de l'opéra comique . tre ! Je forn Français, javons du cœur : Lun ne va pas fans lautre. Il avoue à fon Parrein fon amour poiltThérefe ; Se le Tabellion, voyant quilne peut ly faire renoncer, imagine defaire une loterie damour, dont Pierrotfera le lot. Les Filles tireront .gratis /mais les Veuves ny feront admifesquen consignant 500 livres : ce qui for-mera la dot de Pierro: qui na point defortune. Madame Râpé & MadameFroment y confentent, dans lefpérancede fe i!enlever lune à lautre j mais leTabellion a fi bien arrangé les chofes ,oue Pierrot tombe à Thérefe quil aime, Tij *6 flïftoirc du Théâtre 4 Cette Pièce charmante eft de M. Fa-yard Se nous nen navons donné unextrait fi fuccint , que parce que nous avons craint de nous livrer au plaiiirden rapporter tous les détails agréables :ceqai naurait pu fe faire fans h copierpreîbae toute entière. Elle eut le plusLand fuccès, & depuis quelle a paruV le Théâtre de lOpéra Comique, ilny a point su de Foire où elle nait de VOpéra Comique. 437 LA COQUETTE SANS LE SÇAVOIR; Opéra Comique 9 en un aâe , en Vau-devilles. 13 Février 1744. Colette , rivale dAgathe, ouvre lafcène, Se projette de la brouiller avecColin quelle voudrait lui enlever* Ellelui periuade que ce Berger en aime uneautre, & que , pour le ramener, Aga-the doit feindre de lindifférence , tan-dis quelle , Colette , lui marquera delamour. Agathe, fuivant ce confeil, feretire, en voyant paraître Colin qui ar-rive avec un ruban à la main , quil déf-aillait à Agathe 3 mais que Colette luiprend, en feignant de fe perfuader quiléîait pour elle , & lui promettant de leraccommoder avec fa coufine Agathe ;Colin joyeux PembrafTe par reconnaif-fance. Lorfquil eft parti, Agathe , quia tout vu , revient &c fe perfuade facile-ment linconftance de fon Amant. Peur$*$n venger à fon tour ,* elle écoute la T ii} 45& Hijîoïre du Théâtre déclaration de Lucas , Se la reçoit favo-rablement. Elle ne rebute p
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