Traité de chirurgie . uqueuse nasale, pharyngite granuleuse, gastritecatarrhalc chronique, catarrhe laryngé et bronchique, asthme, sensation douloureuse depression au niveau du sternum, à la hauteur de la 2- et 5 côte, maux de tète dans lesréeions frontale, temporale, occipitale ou vers la nuque), quil considère comme liés à lin-flammation de la bourse pharyngienne. Le seul moyen de guérir ces états réflexes est decautériser au nitrate dargent, ou au galvano-caulèrc, la paroi enflammée ou kystique de labourse. Ces idées ne sont pas encore définitivement acceptées, elles ont été combattuesdans


Traité de chirurgie . uqueuse nasale, pharyngite granuleuse, gastritecatarrhalc chronique, catarrhe laryngé et bronchique, asthme, sensation douloureuse depression au niveau du sternum, à la hauteur de la 2- et 5 côte, maux de tète dans lesréeions frontale, temporale, occipitale ou vers la nuque), quil considère comme liés à lin-flammation de la bourse pharyngienne. Le seul moyen de guérir ces états réflexes est decautériser au nitrate dargent, ou au galvano-caulèrc, la paroi enflammée ou kystique de labourse. Ces idées ne sont pas encore définitivement acceptées, elles ont été combattuesdans une publication récente de Pœlchen {De ianalomie de la ravilc naso-plinryngienne. Virchov:, t. CIXX, p. 118, et Arrh. de laryngol. et de rhinol., \ oct. 1890), pour lequel labourse pharyngée nest pas un organe à part, mais une simple fossette, quil appelle fossettenaviculaire. sorte de fornmen rœruni, plus ou moins profond, qui se continue parfois danslépaisseur de lapophyse OZÈNE. (ii7 anlisepliquos; lo nitralo dargoiil loiidii cl pulvérise à 1/50 ou à 1/100 commecausliqiuv A lous ces moyens les badigeonnages sont encoi-e préférables; on lesfera à la glycéi-ine iodée (iode mélalli(|ue, iodiire de polassiimi, 50 centigrammesà 1 gramme, glycérine 25 grammes), au nitrate dargenl (de 1-5 pour 100). Les hypertrophies partielles, les hypertrophies étendues de la rhinite liyper-trophique sont justiciables du traitement chirurgical. Dans riiypeitrophie dilVuse, poiu détruire les épaississemenls de la pituitaire,nous avons à uo\\-o disposition la cautérisation, soit chimi(jue, àlacide trichioraccti(pie et i\ lacide chromique, soit galvaniquecelle-ci se lait ou en surface ou en profondeur et, dans ce der-nier cas, on pratique soit lignipuncture, soit la cautérisatiolinéaire au moyen dun cau-tère cutellaire. Lélectrolyse,enfin, donne de bons résul- ^^^^ r, -.„ ^ , ,. , /j^/f FiG. û02.— Caulere de RuauU pour ignipii


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