Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . imentde Téou-Ngo;, a été traduite en français par Bazin, dansson «Théâtre chinois» (183S). Sept autres pièces: le Miroirde jade, la Courtisane savante, la Courtisane sauvée, lesSonges de Pao-Kong, le Ravisseur, le Mariage forcé et lePavillon de plaisance ont été analysées par le même sa-vant dans le Siècle des Youen (1850). KOUÂN-HOÂ (kou-a-no-a) n. m. Dialecte chinois, da-bord parlé à Nanking, et qui est devenu la langue com-mune de tous les gens cultivés de la Chine. KoUAN-PING, fils de Kouan-yu. général chinois dela dynasti


Nouveau Larousse illustré : dictionnaire universel encyclopédique . imentde Téou-Ngo;, a été traduite en français par Bazin, dansson «Théâtre chinois» (183S). Sept autres pièces: le Miroirde jade, la Courtisane savante, la Courtisane sauvée, lesSonges de Pao-Kong, le Ravisseur, le Mariage forcé et lePavillon de plaisance ont été analysées par le même sa-vant dans le Siècle des Youen (1850). KOUÂN-HOÂ (kou-a-no-a) n. m. Dialecte chinois, da-bord parlé à Nanking, et qui est devenu la langue com-mune de tous les gens cultivés de la Chine. KoUAN-PING, fils de Kouan-yu. général chinois dela dynastie des Han, qui devint plus tard le dieu de laguerre, sous le nom de Kouan-Ti. Kouan-Ping fut. luiaussi, un guerrier valeureux, mais complètement effacépar léclat des actions de son père, dont il partagea les pé-rils et la mort (219 de notre ère). V. Kouan-ti. KoUAN-TI, dieu chinois de la guerre, est un person-nage historique du nom de Kouan-tu. Kouan-yu naquitvers lan 161, fut obligé desexiler à cause dun meur- j^^^ ; dans un moment. de olure et \int s engager en 184 Lle\c au\ fhis 1 autsgrades il contribua par ses \ictuire& A retarder la chute KOTZEBUE — KOUEI de la dynastie des Han. Mais il quitta, cependant, le partide res derniers, et sattacha ù. son ami Liou-pi, qui s étaittaillé un royaume indépendant; mais il fut vaincu et faitprisonnier, malgré les efforts de son fils deux furent décapités (219 apr. ). Kouan-yu demeura pour les Chinois le modèle de lha-bileté, des vertus militaires, jusquà ce que lempereurHooui-tsouDff, do la dynastie de Soung, lui conféra (com-mencement du XII* s.) la déification. En 1594, lempereurChun-tsoung, de la dynastie des Ming, lui décerna lotitre suprême de ti, « empereur divin », lui éleva un tem-ple, lui décréta des fêtes et des offrandes, et ordonna quilfût vénéré à légal de Confucius. La corporation des mar-chands le choisit pour son patron; puis, ù h^ur tou


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