. Études de phonétique espagnole . t presqueen contact avec les alvéoles pour y, et se serre contre lepalais pour jÇ ». Or nous avons vu que la langue toucheau palais pour /, elle y touche moins pour y. Nous verronsplus tard ce que veut dire « serrer contre le palais >^ - 136 - Le seul sujet qui Ht une différence sensible entre linitialeet la médiale (outre locclusion) était D. Dans la figure134 on verra que pour linitiale la langue savançait vers lecentre du palais aussi bien que pour les autres, mais dansniayo la pointe tombe, et la langue ne dépasse pas la posi-tion médio-palatale sur le
. Études de phonétique espagnole . t presqueen contact avec les alvéoles pour y, et se serre contre lepalais pour jÇ ». Or nous avons vu que la langue toucheau palais pour /, elle y touche moins pour y. Nous verronsplus tard ce que veut dire « serrer contre le palais >^ - 136 - Le seul sujet qui Ht une différence sensible entre linitialeet la médiale (outre locclusion) était D. Dans la figure134 on verra que pour linitiale la langue savançait vers lecentre du palais aussi bien que pour les autres, mais dansniayo la pointe tombe, et la langue ne dépasse pas la posi-tion médio-palatale sur le palais. Le tracé des ampoules accuse une moindre pression pourV que pour /. B a prononcé niio-mieiiihro avec lampoule 3à la partie antérieure de la bouche, et dans la figure 125on voit que la force articulatoire est très différente. Lapression linguale pour les quatre palatales est, comme lemontre la figure 12e, / >• » >• f > v. (Ce tracé étaitinscrit avec lampoule i dans la position prépalatale).. I, /. 2. pyt. 128. Étudié au point de vue du soufile le tracé dy ne dif-fère en rien de celui des autres fricatives. Le levier sélèvegraduellement. A la médiale, ly fricatif nest pas commun. La figure127, baya, offre le meilleur exemple de cette variété. Y peut être étudié aussi en combinaison avec dautresconsonnes, cest Là quon trouve le plus souvent la pronon-ciation fricative. Dans la combinaison/)/> (fig. 128) la langue — ny — ne touche pas au palais dans Tarticulation de p, et toutce qui paraît appartient à 1), Si on la compare avec celled/, on verra nettement la différence qui existe entre lesdeux. Le même relâchement se constate, en règle générale.
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