. Le Jardin des plantes : description. rtes; mais, dédaignant daccepter une capitulation, (Charlesa fait ouvrir «lans les murailles une brèche de quarante coudées, etil est entré en coni[uérant, la visière baissée, la lance en arrêt, à latète de ses chevaliers. Il nétait alors que comte de (Miarolais, et lesrebelles savent bien que sans lintercession de Philippe le Bon , sonpère, il aurait livré leur ville au pillage. Eh bien, malgré ces souve-nirs récents, quand la brèche n est pas encore réparée, quand lesarsenaux de la commune sont presque vides, la vue dun bonnet dar-cher sulïit pour mettr


. Le Jardin des plantes : description. rtes; mais, dédaignant daccepter une capitulation, (Charlesa fait ouvrir «lans les murailles une brèche de quarante coudées, etil est entré en coni[uérant, la visière baissée, la lance en arrêt, à latète de ses chevaliers. Il nétait alors que comte de (Miarolais, et lesrebelles savent bien que sans lintercession de Philippe le Bon , sonpère, il aurait livré leur ville au pillage. Eh bien, malgré ces souve-nirs récents, quand la brèche n est pas encore réparée, quand lesarsenaux de la commune sont presque vides, la vue dun bonnet dar-cher sulïit pour mettre les Liégeois en rumeur. Puisse Dieu les ame-ner à résipiscence ! Mais je crains «|u*il y ait de sanglantes querellesentre un souverain aussi irascible et une population aussi indiscipli-iiable. Je voudrais (]ue mon excellent maître eût un rang moins élevéet plus de sécurité, car sa mitre est bordée de ronces au lieu dher-mine. Je vous dis cela, seigneur étranger, pour vous faire comprendre liilifsiii-. Kn pro:e a do nouvelles an^oisscs, elle tomba sans la releva prciipitammont. i|iie si vos afiaires ne vous reliciiiienl pas à Schoinvaldt, cest un sé-jour que tout homme de bon sens doit quitter le plus promptiiiientpossibli. J« piésiimi que vos «lames sont il« mon avis, car elliS ont«?nvoyi un des hommes de leur suite ii la «:«>iir de Kraiiie avec unmessagi (|iii annonce sans «loiite «[uellcs ont lintiuition de chiicheruii^asilc plus sûr. CIIAPITUK XX. Le Hillet. uaii«l on eut desservi, le chapelain, (|ui semblait se complaire dansla société «le Quentin Durward, ou (|ui désirait peut-être obliiiir «l«plus amples renseigiiemciils sur les incidents de la matinée, le menarcs, rue de Vuugirard, 3tj. QUENTIN DURWARD. 49 dans un cabinet dont les fenêtres donnaient sur le jardin. Sapcrce-vant que le jeune homme tournait sans cesse les yeux de ce côté, illui proposa de descendre, et dexaminer les plantes exotiq


Size: 1394px × 1793px
Photo credit: © The Reading Room / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1800, bookdecade1850, booksubjectmammals, bookyear1851