. Vue philosophique de la gradation naturelle des formes de l'etre, ou Les essais de la nature qui apprend a faire l'homme. r quil n^ a ijoint de Géants ; mais ces raifonuemens ne peuvent rien contraia réalité des faits.(*) Tranfacl. Philof. No, i63 & 169. Q) Lettre fur le progrès des Sciences, dans les Oeuvres dsÎSir. de INÎauperuiis Tome IL ^ 2 J^6 CONSIDCRATlOiNS fin reconnu la vérité de ce quon navoit iufquici té^gardé que comme douteux ou feulement vraifcmbla-ble. On na pas vu feulement quelques uns de cesGéants, on en a vu une horde de plus de trois en a amené en Europe ;& nous f


. Vue philosophique de la gradation naturelle des formes de l'etre, ou Les essais de la nature qui apprend a faire l'homme. r quil n^ a ijoint de Géants ; mais ces raifonuemens ne peuvent rien contraia réalité des faits.(*) Tranfacl. Philof. No, i63 & 169. Q) Lettre fur le progrès des Sciences, dans les Oeuvres dsÎSir. de INÎauperuiis Tome IL ^ 2 J^6 CONSIDCRATlOiNS fin reconnu la vérité de ce quon navoit iufquici té^gardé que comme douteux ou feulement vraifcmbla-ble. On na pas vu feulement quelques uns de cesGéants, on en a vu une horde de plus de trois en a amené en Europe ;& nous fommes à la veillededécouvrir bien des particularités concernant les ter-res auliralcs & ces grands hommes qui les dun nombre auffi confiderablc étant unefois conIl;atée ^ on ne peut plus dire que leur j^randeurextraordinaire cft un fimple accident. Ce doit être-une variété confiante dans lcfpece. Une limple diffé-rence individuelle ne pourroit pas porter la grandeurce lhomme au double, & fon corps à un volume huitfois plus conlidérable que le volume I P H I L 0 s O P H I Q U E s &c. 197 QUATORZIEME PARTIE. CHAPITRE Monfires. L manqucroit qnplqîe choie au Traité de la grada-tion naturelle d^^ lEtre, H joubliois de parler de cer-taines formes particulières, que nous appelions mon-Itrueufcs parce quelles femblent séloigner de la régu-larité & de runitbrmitc des autres productions natu-relles. Ces combinaitbns bifarres des élémcns de la-nimalité, que lon attribue allez communément à desaccidens^font diltribués le long de la chaîne desEtres,& me femblent entrer dans le plan général. Ces va-riations de la forme prototype, qui3 encomparaifoades autres, admettant un excès, un défaut, une dif-formité ou un déplacement de parties, nont point laçonftance des autres formes: elles ne font fouvent quefe montrer & difparoître, uns engendrer des formesanalogues. Car fi la monitruolité eft à un certain de-gr


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