. Comment j'ai traversé l'Afrique despuis l'Atlantique jusqu'a l'Océan indien a travers des régions inconnues . Femmes du Dombé. derreur la richesse du terrain dans cette partie du indigènes cultivent le manioc dans tonte la vallée,dont la fertilité est telle que, même après trois ans de séche-resse, la récolte reste parfaitement régulière. On en exportechaque année plus de sept mille hectolitres de farine. Cesten fait le grenier de Benguêla. Les naturels de cette con-trée ne pratiquent pas le troc ; ils cèdent leurs produitscontre de largent et se rendent parfaiteme


. Comment j'ai traversé l'Afrique despuis l'Atlantique jusqu'a l'Océan indien a travers des régions inconnues . Femmes du Dombé. derreur la richesse du terrain dans cette partie du indigènes cultivent le manioc dans tonte la vallée,dont la fertilité est telle que, même après trois ans de séche-resse, la récolte reste parfaitement régulière. On en exportechaque année plus de sept mille hectolitres de farine. Cesten fait le grenier de Benguêla. Les naturels de cette con-trée ne pratiquent pas le troc ; ils cèdent leurs produitscontre de largent et se rendent parfaitement compte de lavaleur de la monnaie. TOUJOURS EN QUÃTE DE PORTEURS. (i-i Lorcliv et la discipline de nos gens furent beaucoupdétéiioiés par le séjour forcé que nous fîmes dans cettevallée. Cluufuejour ils madressaient une nouvelle réclamationet chaque jour ils se querellaient entre eux. Je nosais pas memontrer trop sévère de peur quils ne mabandonnassent tousenseml)le. Pour avoir du rhum, avec lequel ils sahrulissaiont, ils. Femmes du Dombé, vendeuses de charbon. >endirent dabord leurs vêtements, puis leur ration denourriture. Cétaient même les soldats qui se conduisaient le plus aux sovas, ils ne nous envoyèrent personne. Je hnispar craindre de voir se répéter les scènes de Benguêla etdêtre privé de tout moyen de partir. Le 1 décembre, arrivèrent au Dombé une trentaine (U CUMMEiNT JAI TllAYEHSà LAFRIQUE- (riiomnies ([ue le chèfé militaire de Ouilenguès avait eu-vo\és clierdier du bagage qui lui apparteuaii. Je mis immé-diatement ces porteurs en réquisition pour notre service, et,daccord avec mes compagnons, le départ fut fixé au 4. Nous avions eu trois nouvelles désertions ; savoir deuxhommes de Novo Redon do et un de Benguèla. jNos ânes devenaient de plus en plus vicieux, personne nepouvait les dresser ; nous décidâmes


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