. Annales de la Société royale zoologique et malacologique de Belgique. Zoology; Mollusks. 92 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. que par leur forte saillie sur les deux valves, leur largeur atteignant même — chez certaines espèces — une fraction notable de la hauteur umbono-palléale des valves. Génotype : Soîen squamosus Montg. Viv. Les espèces 87-1 à 87-5 sont bien effectivement des Lepton typiques, mais les Planihellya qui suivent (87-6 à 87-11) ne peuvent être classées dans le même Genre, comme je l'ai indiqué dans l'Appendice III (p. 18) et sur la planche XXVII de Y Ic


. Annales de la Société royale zoologique et malacologique de Belgique. Zoology; Mollusks. 92 SOCIÉTÉ ROYALE ZOOLOGIQUE ET MALACOLOGIQUE DE BELGIQUE. que par leur forte saillie sur les deux valves, leur largeur atteignant même — chez certaines espèces — une fraction notable de la hauteur umbono-palléale des valves. Génotype : Soîen squamosus Montg. Viv. Les espèces 87-1 à 87-5 sont bien effectivement des Lepton typiques, mais les Planihellya qui suivent (87-6 à 87-11) ne peuvent être classées dans le même Genre, comme je l'ai indiqué dans l'Appendice III (p. 18) et sur la planche XXVII de Y Iconographie (t. I) sur la foi des rectifications faites par M. Dali. L'étude nouvelle des charnières, telle que je l'ai établie dans la Conch. néog. de VAquitaine, pour les Erycinacea en particulier, m'oblige à laisser Planihellya dans le Genre Kellya où on le retrouvera ci-après, attendu qu'il y a une dent 1 parfaitement nette et que ce n'est pas une lamelle AI. Fig. m. Charnière de Lcplon squame sum Montg. Viv. 88e Genre : ERYC1NA Lamk., 1804. La revision complète des Erycinacea, que j'ai faite dans le premier volume de la Gonchologienéogéniquede V Aquitaine, m'a conduit à divi- ser ce Cénacle en sept Familles, dont le point de départ est la Famille Erycinidœ chez laquelle on peut observer les lamelles latérales bien développées sur les deux valves, mais où les dents cardinales ne sont pas absolument constantes et s'atrophient même partiellement, tandis que chez les Kellyidœ, il n'y a déjà plus de lamelles antérieures, et que les Scintillidœ sont caractérisées par l'absence complète de lamelles latérales. Ce principe une fois posé, le type le plus complet est Eryckna s. str., dont l'échancrure ligamentaire est longuement ouverte en arrière du crochet; 1, 2 ef 4b sont bien visibles; AI et PI sont longues, simples, inécuidistantes ; Ail et PII sont peu proéminentes, parfois réduites à une légère saillie du bord supérieur


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