. La Grande encyclopédie, inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts. château fort,bâti au milieu du xve siècle par un La Trémoille, pris etoccupé successivement par les royalistes et par les ligueursen 1590 et 1591. La baronnie, qui appartenait depuis1377 aux La Trémoille, passa par mariage, au commence-ment du xvi° siècle, dans la famille de Gouffier. Jacques leVeneur, comte de Tillières, la vendit, en 1611, au prési-dent Jeannin. En 1776, Michel-Etienne Le Pelletier, comtede Saint-Fargeau, la reprit en fief. L-x. DRACYLIQUES (Combinaisons) (Chim.). En raison desa grande stabi


. La Grande encyclopédie, inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts. château fort,bâti au milieu du xve siècle par un La Trémoille, pris etoccupé successivement par les royalistes et par les ligueursen 1590 et 1591. La baronnie, qui appartenait depuis1377 aux La Trémoille, passa par mariage, au commence-ment du xvi° siècle, dans la famille de Gouffier. Jacques leVeneur, comte de Tillières, la vendit, en 1611, au prési-dent Jeannin. En 1776, Michel-Etienne Le Pelletier, comtede Saint-Fargeau, la reprit en fief. L-x. DRACYLIQUES (Combinaisons) (Chim.). En raison desa grande stabilité, lacide benzoïque, Ci4H60*, en atomesCH602, fournit de nombreux produits de substitution :dérivés chlorés, bromes, iodés, fluorés, nitrés, chloroni-trés, bromonitrés, etc. Tous ces corps peuvent présenterdes isoméries de position, ortho, meta, para. Les dérivéspara ne sont autre chose que les combinaisons dracy-liques des anciens chimistes. Soient les dérivés monochlorés :il y en a trois quon peut représenter par les schémas ato-miques suivants :. Le premier est lacide orthochlorobenzoïque, le secondreprésente lacide mctachlorobcnzoïque et le troisième estlacide parachlorobenzoïque ou acide trois corps, qui ont la même composition élémentaire, ne possèdent pas exactement les mêmes propriétés ; le pre-mier fond à 137° (Kékulé), le second à 152-153° (Griess,Beilstein), le troisième à 235-236° (Millier, Beilstein). Tandisque le premier nexige que 381 p. deau à zéro pour sedissoudre, le second exige 2,840 p. (Kolbe), et le troisième5,288 p. (Muller), etc. Les dérivés fluorés, bromes, ni-trés, etc., présentent des différences analogues, les dérivéspara ou dracyliques étant généralement moins fusibles, etmoins solubles que leurs isomères. Ed. Bourgoin. DR/EGER (Josephus-Anton), peintre dhistoire allemand,né à Trêves en 1800, mort à Rome en 1833. Elève delacadémie de Dresde, il se fixa


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