Dernière heure; pièce en quatre actesIllustrations de Widhopff . Œuvrele 10 Mai 1912. *!^i. A LUGXÉ-POÊ ,V en i^age de ma reconnaissance v;- et de ma vive amiti:. £t\ Jean-José Frappa \ !.? ,/ ^M#W,; M. LUGNE-POE(Directeur du Théâtre de lŒuvre) ILLITSTBATIONS IDE WIDHOPi^F Copyright by Jean-José Fbappa, 1912 F>E FIS OINT rsT AOE© Jacques Parmin, reporter MM. G. Saiixabd. Bamier, chef Je* Informations Louis Bourn r. Henri Desclos Dhurtal. De Valbois Reynal. Banjar j Cornet. Framnl Ducollet. Luber ? * Praxt. Morlet \ Bastide. David Deydié. Monsieur Paul, secrétaire. Frey. Joseph, concierge Be
Dernière heure; pièce en quatre actesIllustrations de Widhopff . Œuvrele 10 Mai 1912. *!^i. A LUGXÉ-POÊ ,V en i^age de ma reconnaissance v;- et de ma vive amiti:. £t\ Jean-José Frappa \ !.? ,/ ^M#W,; M. LUGNE-POE(Directeur du Théâtre de lŒuvre) ILLITSTBATIONS IDE WIDHOPi^F Copyright by Jean-José Fbappa, 1912 F>E FIS OINT rsT AOE© Jacques Parmin, reporter MM. G. Saiixabd. Bamier, chef Je* Informations Louis Bourn r. Henri Desclos Dhurtal. De Valbois Reynal. Banjar j Cornet. Framnl Ducollet. Luber ? * Praxt. Morlet \ Bastide. David Deydié. Monsieur Paul, secrétaire. Frey. Joseph, concierge Bergamin. Un commissaire de police Didier Roussel. Un officier de paix Bréville. Un agent Ldgné-Poe. Un garçon de bureau Arnaud. Un groom Fern a y. Un photographe Rey. Un compositeur Lirmet. Secrétaire du commmissaire Gauthiek. Le critique Barrier. Lucienne Parrain Mllcs Jeanne Sabrier. Marguerite Dubière Saviixe. Rose, femme de chambre Andrée Cahuzac. Marie, cuisinière Miette Dancourt. Louise, concierge Jeanne Guéret. î974 DERN :1, 11. Dernière Heure ACTE PREMIER La scène représente un petit salon auquel une profusion de bibelots, de bouts détoffes anciennes, de dentelU s,tentent de donner un aspect délégance qui contraste avec les meubles bourgeois dont quelques-uns sont latin?»-tablement usés. Sur un guéridon, une splendide corbeUU de fleurs. Scène première ROSE, MAKI {Au lever du rideau. Rose, la femme de chambre 1occupée à coudre des appliques en « imita/ionsur les bras dun fauteuil. Marie, la cwisi/niènentre par la droite, très émue.) Rose. — Eh bien? Marie. — Il est parti. Rose, avec un soupir. — Ah ! enfin ! Marie. — Ça na pas été sans peine ; il ne voulaitrien entendre : je ne pouvais pas arriver à lui enleverde la tête lidée que Madame était dans lapparte-ment et que, si je lui disais le contraire, cétait parcequelle ne pouvait pas lui payer sa note. Jai finipar lui offrir de visiter toutes les pièces avec
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