. [Paraphrase des pseavmes de David, : en vers françois, . IE PîîAYME LXIX, Ils difent auecque joye,Bcny foie Dieu qui déployéLes trefors de Tes bontez. Cependant, afïifte-moy,le fuis pauure 8c miferablerTout me paroift redoutable»Dans leftat où je me voy. Seigneur, à toy jay recours,Mon cœur tinuoque fans ceflè.Et puis que le mal me preflè,Hafte pour moy ton fecours, %%9; ggrfBsrass ParaphraseP S E AV M EL XX. ïn te Domine fperauï, non confondar in K G y M EH T. Ce Vfîdrmt a efté compose pour le mefme filet que eeluy quilepreeede -, cefipourquoy dans Voriginal il eft fans


. [Paraphrase des pseavmes de David, : en vers françois, . IE PîîAYME LXIX, Ils difent auecque joye,Bcny foie Dieu qui déployéLes trefors de Tes bontez. Cependant, afïifte-moy,le fuis pauure 8c miferablerTout me paroift redoutable»Dans leftat où je me voy. Seigneur, à toy jay recours,Mon cœur tinuoque fans ceflè.Et puis que le mal me preflè,Hafte pour moy ton fecours, %%9; ggrfBsrass ParaphraseP S E AV M EL XX. ïn te Domine fperauï, non confondar in K G y M EH T. Ce Vfîdrmt a efté compose pour le mefme filet que eeluy quilepreeede -, cefipourquoy dans Voriginal il eft fans compofk lvn & lautre, lors quil fut contraint defenfuyrdeuant fin fils Abfalon ; ce quiparoiftparle oh il prie le Seigneur de ne labandonner pùintdtitemps de fa vieille fie. llluy demande fan avance contrefis ennemis qui s*efieuent de toutes parts y & il luy pro*met de la reconnoiftre par de nouvelles hwnges, & par%>ne éternelle fidélité. E 1 g n £ v R, fur ta feule alTiftance,le fonde ma ferme efperance ,. Où moatipric seft attendu* Dans ma detrefTe nonparcilîe,A mes plaintes prefte loreille,Sois ma citadelle Se mon fort;Contre cet horrible déluge,! En ta feule bonté je cherche mon refuge »Et jenay que toy pour fupport. Deîiurc-moy de la puiflànce, $VR» LE PSEAYME L X X» Du pécheur que mon innocence,Rend encore plus inhumain;Ne permets pas que lhomme îaïque;Qui mefprife tes loix dvne audace publique,Me tienne captif fous fa main» Ceft a toy feul que je madreflè,Toy feul dés ma tendreflè jeuncfïè,Es mon efpoir plus aficuré;O Protecteur de ma és que je fuis forty du ventre de ma mère,Ton bras seft pour moy déclaré. En tous lieux aufîl je me vanteDe ta prote&iôn puifîante,Contre vne mortelle fureur ;Helas ! dans le mal qui mafflige,Chacun efpouuanté me fuit comme vn prodigeEt jefuis vn objet dhorreur. Tu me fouftiens &c tu me venges,Faut-il donc pas que tes louanges,Soient le fujet de mes difeours,Que touuou


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