Ãtrennes lyriques anacréontiques pour l'année 1784 . ©ra:Cruelle départie! Malheureux jour îIl en coûta la vie Au jeune Amour, Mercure , du NoviceDéroba le flambeau,Et puis dame JufliceSadjugea fon bandeau :Lon vit toutes l^s Belles « Et Mars auffi,Se parer de fes ailes, Sans nul fouci. On le fit entrer PageAu Palais de Plutus ;Là , dans un dur fervage,Il comptait des ccus:Un beau jour , fur la brune ,Sans nul fujet, LrRIQUEf, Des mains de la FortuneIl eut le fouet. Amour dans la mifè fortir dembarras,Droit à lHymen, fon Frère,Courut tendre les bras:Jamais, fa deftinée On ne p
Ãtrennes lyriques anacréontiques pour l'année 1784 . ©ra:Cruelle départie! Malheureux jour îIl en coûta la vie Au jeune Amour, Mercure , du NoviceDéroba le flambeau,Et puis dame JufliceSadjugea fon bandeau :Lon vit toutes l^s Belles « Et Mars auffi,Se parer de fes ailes, Sans nul fouci. On le fit entrer PageAu Palais de Plutus ;Là , dans un dur fervage,Il comptait des ccus:Un beau jour , fur la brune ,Sans nul fujet, LrRIQUEf, Des mains de la FortuneIl eut le fouet. Amour dans la mifè fortir dembarras,Droit à lHymen, fon Frère,Courut tendre les bras:Jamais, fa deftinée On ne peut fuir ;Amour, chez lHymenée, Devait mourir. Rancune fraternelleDure jufquau tombeau :Pour viiider fa querelle,LHymen lavait trop beau;Dans fon lit, fans myftere, Le traître, hélas IFit étouffer fon Frère Entre deux draps. Qui pourrait fe défendreDarrofer fon tombeau,Et même dy fufpendre Aîj ÃTRENNEt Ce funèbre écritcau: â¢â¦ Lis, Voyageur né tendre 9 M Ci gît Amour!» PuilTc-t-il de fa cendre M Renaître un jour! Par M. Ma Rtcn AU. Lyriques. 5 LE BOSQUET CHERI. A 1 R : Ricr. n\fi fi doux , Jl to .chant que Sllvanire» y O IL A ce hea que chénffait ma belle : Quel fou venir il me rappelle! Témoin de nos tendres aveux, Quel fouvenir il me rappelle!Vit-il jamais deux amans plus heureux ? Ces j^ux, cette ardeur mutuelle. Qael fouvenir il me rappelle !Vit-il jamais deux amans plus heureux? Réduit charmant, témoin de mes ne peux plus molTnr fes charmesiTu ne peux rallumer fes ne peux plus moffrir fes charmes; Il faut, hélas ! te voir f:ns être tarrofe en vain de mes larmes,T;. n ^ peux plus mofîrir ùs charmes; il faut hélas! te voir fans être deux. Par M. D E S A I N T - F L o s c E t,A irj i Ãtrennes LES RONDEURS, COUPLETS PHILOSOFBIQUES, Air; Ton humeur cft Cùthnine, T Jl o I qui, de la toujours le degrc »Qui veux à force dÃ
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