. Bruxelles à travers les âges . Vue iatéfale de léglise Sainte-Gudule, prise de la rue du é dune lithographie de 1835. ces gros problèmes sociaux que lon agite incessamment sans les résoudre et dont ladiscussion devient laliment habituel et monotone de la politique. Au début du dix-huitième siècle, en 1703, on avait établi un escalier à plusieursrampes, bordées de balustrades de pierre. Il succédait à un escalier tout droit,fort simple, à un seul palier. Un usage de cent années le rendit rapport de 1808 constate qu ^ une partie des marches a été volée e


. Bruxelles à travers les âges . Vue iatéfale de léglise Sainte-Gudule, prise de la rue du é dune lithographie de 1835. ces gros problèmes sociaux que lon agite incessamment sans les résoudre et dont ladiscussion devient laliment habituel et monotone de la politique. Au début du dix-huitième siècle, en 1703, on avait établi un escalier à plusieursrampes, bordées de balustrades de pierre. Il succédait à un escalier tout droit,fort simple, à un seul palier. Un usage de cent années le rendit rapport de 1808 constate qu ^ une partie des marches a été volée et que lapartie restante est tellement dégradée que la montée est pour ainsi dire devenueimpossible. » Ladministration sémut. Et, en 181 r, lescalier fut réparé, modifié et remiscomplètement en état. Mais de nouvelles dégradations survinrent et la question de. Lautel de la chapelle du Sacrement de Miracle, a original de L. Titz. 33 258 BRUXELLES MODERNE. lescalier, à peine enterrée, ressuscita avec de nouvelles et plus considérablescomplications. On se plaignait, en effet, non seulement de létat matériel delescalier, mais de son aspect vulgaire qui jurait avec la mine altière des tours et duportail. On se plaignait aussi de ce quil était dirigé obliquement vers la rue de laCathédrale et nétait pas dans laxe de léglise, disposition nécessitée par langle queformait la jonction de la rue de la Cathédrale et de la rue du Marquis; on seplaignait enfin de la difficulté du passage des voitures sur la pente raide de ces rues,au pied de lescalier. Il nétait pas aisé, comme on le voit, de satisfaire à toutes lesrécriminations et dapaiser tous les griefs. Le premier, M. Suys entreprit de résoudre la question. Il soumit en 1843 unplan au conseil de fabrique de léglise Sainte-Gudule. Dautres architectes suiviren


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